Je n'ai pas noté le numéro de la maison, malheureusement. Désolé !
Je n'ai pas noté le numéro de la maison, malheureusement. Désolé !
Est-ce que tu peux donner des informations plus précises sur l'adresse, stp ?
Numéro dans la rue et numéro de vitrine (de gauche à droite) ?
Merci !
Antwerpen, 4 heures du matin. Je ne parviens pas à dormir, alors je sors de mon hôtel et je m'enfonce dans la nuit flamande.
Je vais dans le quartier rouge. L'ambiance à cette heure de la nuit est bizarre. Il y a beaucoup d'ivrognes qui mettent de la musique arabe avec leur téléphone. Beaucoup se font recaler par les dames . Ga masturberen !, dit l'une d'elles à un type. Elles n'aiment pas les soulards, les filles de vitrine.
Alors, moi qui suis tout à fait sobre, je me mets en quête d'une petite brune. J'en vois une qui joue avec son téléphone, dans une maison sur Verversrui. Elle ne prête aucunement attention à moi. C'est mauvais signe. Je persiste et m'approche de la vitrine. Goedenavond, mag ik binnekomen ?.
Sorry, I don't speak dutch.
Deuxième mauvais signe. Mais je persiste, car cette petite brune d'Europe de l'Est m'excite.
Elle vient de Bulgarie, comme c'est souvent le cas en Flandre et aux Pays-Bas.
Je lui dit que je veux la prendre en levrette. Elle me réponds que je dois commencer par une autre position, car elle sent trop fort la bite de l'homme ainsi. Je lui dit que j'en ai une petite, et je lui montre, mais rien à faire, il faudra commencer autrement.
Bon, elle me suce avec latex, elle me branle surtout en fait. Je commence en missionaire, et elle accepte enfin que je la prenne comme je voulais. Je jouis.
La fille n'est pas bavarde. De toute évidence elle n'aime pas beaucoup ce job.
Elle était à mon goût physiquement, mais il n'y a pas eu de magie durant l'acte. Une expérience moyenne, en somme, pour 50 euros.