J’étais juste passé au 5th pour admirer la nouvelle déco après les travaux du weekend dernier. Je n’ai vu qu’un carrelage et de nouvelles chaises et tables, d’occasion.

Et tandis que je m’étais attablé pour essayer le nouveau confort et regretter que ma Roumaine favorite est en vacances (pas longtemps m’a-t elle dit), voici que deux nouvelles recrues viennent s’installer à ma gauche et à ma droite.

La première, une Albanaise, qui a bien du mal à communiquer (sauf si tu parles albanais), fort mignonne, très jeune, cheveux courts, noirs.

A ma droite une Roumaine elle aussi fort jolie, très fine, cheveux blonds mi-longs et bouclés et ces yeux illuminés d’un beau sourire qui me font succomber à coup sûr.

Quand elle me dit que c’est son premier jour au 5th, qu’elle vient juste d’arriver et qu’elle n’a pas encore eu de client, j’aurais peut-être dû me méfier. Mais bon : ouvrir un nouveau fil ça a aussi son charme … normalement.

Alors je lui explique comment ça se passe et je lui demande si elle veut une chambre avec douche. Elle me répond : une chambre ça ira. J’aurais peut-être dû me méfier.

La taulière lui file la clé et la félicite pour sa toute première prise, sa première truite … ou plutôt son premier pigeon.

Et c’est là que ça se corse. Une fois dans la chambre Cristina, 26 ans, commence à se contorsionner d’une drôle de façon – je pense qu’elle est nerveuse - , elle se rapproche de moi et me déleste de ma chemise, de ma ceinture, de mon pantalon, de mon boxer … et de 50 Euros, évidemment.

Elle-même n’a rien ôté de ses vêtements. Nous n’avons échangé aucune caresse, aucun bisou … Elle me pousse sur le lit et entreprend de me ‘fouetter’ avec ma propre ceinture. Comme si c’était une option … ??

Vous n’avez rien remarqué ? Pas de douche jusqu’ici. On verra ça en temps utile je me dis. Et d’ailleurs elle est en train d’ôter son fuseau. La petite culotte reste bien en place, ainsi que sa brassière et le soutien-gorge dessous.

Et sans tarder elle fait mine de m’entreprendre en me pinçant quelques fois la bite avant d’y enfiler tant bien que mal un préservatif de très bonne qualité (car, me dit-elle, elle ne lésine pas sur la qualité de la capote ; il faut bien se protéger). Heureusement la mignonne est jolie et mon sexe était déjà un peu présentable avant même que je sois à poil.

C’est à ce moment que se produit le geste le plus sensuel de toute notre rencontre. Elle se penche et commence à traiter mon sexe mi-dur (version optimiste), mi-mou (version pessimiste) comme un bébé s’amuserait avec sa sucette. Avec des petits mouvements de succion … mais surtout sur le petit réservoir en haut du préservatif. Sensations nulles. Je le lui dis : alors elle me mord le gland – je reste stoïque, comme lors des coups de ceinture – puis – mais je pense que c’est accidentel – elle me serre les testicules comme on tord un gant de toilette … alors là je hurle « aïe ». Cristina s’étonne : je t’ai fait mal ?

J’oubliais de vous dire que toutes nos conversations sont en italien (qu’elle parle au demeurant assez bien) … et c’est une des raisons pour lesquelles elle m’a séduit. J’aime bien «faire l’amour en italien ».

Et après quelques minutes de ce traitement elle décide qu’il est temps de baiser. Elle écarte un pan de sa culotte, toujours bien en place, et essaie de pousser mon sexe désormais bien piteux dans une foufoune que je n’ai pas eu l’honneur de pouvoir voir, toucher et encore moins lécher ... Le léchage de chatte elle trouve ça « schiffoso » (dégoûtant).

Fin de la comédie burlesque : je me remets à la verticale et retire (sans peine et d’un coup sec) le Durex … elle prend peur (non mais qu’est-ce que tu crois, je ne vais pas te violer). Finita la comedia.

Elle m’avoue alors que c’est la toute première fois qu’elle fait ce job et que je suis donc non seulement son premier client du jour, mais aussi son premier client tout court.

Elle a de la chance parce que je suis un chouette gars, patient, gentil … et que je ne vais pas réclamer mon dû en retour, ni la maltraiter, ni l’injurier.

Elle a pourtant un problème car le gars qu’elle vient de ne pas baiser est une des plumes les plus assidues du présent forum et que l’EV que vous êtes en train de lire va briser tout net sa carrière qui venait juste de commencer cet après-midi.

Je lui dis qu’elle n’est vraiment pas faite pour ce job (puisque elle n’aime ni embrasser, ni être touchée, être caressée, ni sucer, ni être entreprise …. rien de tout ce que nous attendons, nous, les hommes). Je vois ses yeux se mouiller, je ne veux pas la voir pleurer … alors je lui fais un bisou chaste, sur la joue. Je n’en aurai pas d’autre : nos lèvres ne se sont jamais touchées … il ne me reste plus qu’à fantasmer sur sa petite langue ornée d’un délicieux piercing … car je n’y goûterai jamais.

Rhabillage. Fin de l’histoire.

Profitez bien de ce récit les copains. Il vaut 85 Euros (50 + 35 pour la chambre avec douche qui n’a même pas servi). Car pour ce prix je n’ai eu rien d’autre que le plaisir de vous raconter cette histoire.

Cristina, tu as néanmoins un très joli minois et un corps tout mini tout joli. (Si seulement j’avais vu tes seins nus). Tu devrais pouvoir faire quelque chose de bien de ta vie ; tu m'as l'air d'une fille sympa.