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Discussion : Charnel Club : MELISSA (française originaire Martinique - Sénégal)

  1. #


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    avril 2009
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    356

    Par défaut Melissa

    Mélissa, métisse d'Ibiza
    Vit toujours dévêtue
    Dites jamais que je vous ai dit ça
    Ou Mélissa me tue...

    Finalement Melissa n'a rien à voir avec la chanson de Julien Clerc...
    Melissa a su se montrer très douce avec moi, mais sans plus.
    Après une discussion d'une heure en salle, nous somme monté dans la chambre pour faire plus amples connaissances...

    Les formes de Melissa sont splendides (il faut être amateur du genre) : une grosse poitrine, de belles fesses rondes et bien tendues, une peau douce... et surtout un visage, un sourire et un regard qui ne laisse pas indifférent.
    Au lit Melissa a été plutot "sage" avec moi et je dois dire que je m'attendais à un peu plus de folie.
    Pas de FK, juste des bisous du bout des lèvres.
    J'ai globalement été déçu, peut-etre une histoire de feeling entre nous qu'il n'y avait pas.

    Globalement j'ai observé beaucoup Melissa durant la journée, je l'ai trouvé assez distante avec tout le monde, toujours en retrait... peut-etre n'était-ce pas un bon jour pour elle ?

    Je ne pense pas qu'il y aura récidive si j'ai l'occasion de revenir au CC.

  2. #


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    mars 2015
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    678

    Fitness au Charnel

    Putain, quelle femme !! (on peut inverser, mais ça marche moins bien) .

    Après une première impression très forte et très encourageante, j’attendais le bon moment pour retourner voir Mélissa au Charnel Club. Je ne suis pas tous les jours à Tournai et elle brille assez souvent par son absence.

    Et puis aujourd’hui j’y étais, elle aussi. Cap sur la rue de l’Athénée.

    Les autres escortes présentes, Denisz, Marina, Adriana, Denisa, Claudia, Viviana, Alice … toutes très belles, viennent se présenter. C’est sans compter qu’il y a quatre jours j’étais au Bab, FKK d’Elsdorf (D), entouré d’escadrilles de Roumaines sublimes. Un changement s’imposait.

    Compte tenu de notre première rencontre fusionnelle Mélissa sait probablement qu’elle va une deuxième fois me revoir tout nu. Elle ne s’est pas mise dans la file, elle s’est sagement assise à l’écart, sur un des canapés du salon, pour ne pas faire de l’ombre à ses collègues, au propre et au figuré. Car, du haut de son mètre soixante-dix-huit (elle est française), avec sa poitrine 95 E (traduit en ‘belge’ 120 E), elle impressionne plus d’un freluquet et même moi, qui ai pourtant sa taille (mais pas son tour de poitrine ).

    Et donc, comme c’est l’habitude au Charnel, je lui offre une coupe de champagne tandis que ses copines retournent dans leurs appartements.

    Les présentations ont été faites l’autre fois. Après avoir pris plus ou moins rapidement des nouvelles l’un(e) de l’autre, nous partons vers l’étage pour nous redécouvrir.

    Dans l’escalier, même impression de féminité absolue tandis que j’observe les ondulations invitantes de cette grande femme, marche après marche après marche … Je voudrais que cette montée ne finisse jamais. Le spectacle est exaltant, magique si j’en crois l’effet qu’elle provoque sur mon little big boy .

    Et pour la suite, chers amis, nous avons dès notre deuxième session ensemble, atteint un très bon niveau de connivence, de complicité et d’harmonie.
    Tout était très physique et athlétique, sauf les préliminaires durant lesquels nous avons pris le temps.

    Bisous, bisous, caresses, chouchoutage, avant de passer aux gâteries réciproques.

    Mélissa est très réceptive au cunnilingus (pas eu l’occasion de l’en gratifier l’autre fois) mais j’ai dû m’interrompre avant l’orgasme*, au risque de me noyer. Voilà une très sérieuse candidate au titre de « Miss Fontaine* ». * Deux défis pour notre prochaine rencontre.

    Par contre j’ai comme l’impression qu’elle n’aurait jamais arrêté de me sucer si je n’avais pas exprimé le désir de passer à autre chose. Infatigable, déchaînée, gloutonne, gorge profonde … ; cent variations sur le thème de « je te suce, je te lèche, je te dévore, je te titille, je te bécote … le gland, le sexe, les boules, le périnée … et je descends, et je remonte, et je t’avale … et la main, et la tête, et les doigts, et la bouche et le bec … ah ! ah ! ah !"

    Mon soldat est devenu raide comme un cierge de Pâques (eh, eh, Jacques, j’ai transformé ta chanson …). Il est temps de lui passer sa chasuble … et de célébrer la grand-messe.

    Je n’ai pas compté les positions mais sachez que nous n’en avons pas été avares. Variantes de la levrette, du missionnaire, de l’Andromaque recto/verso, des cuillères (ah non … la prochaine fois).

    Et rebelote : branlette, fellation … et Popaul, têtu, refuse de cracher …

    L’heure est écoulée, je rajoute quelques Euros dans le compteur à budget car je ne peux pas arrêter, pas encore. Elle non plus, qui s’étonne que mon machin est toujours très dur, très volontaire.

    Et c’est reparti avec de nouvelles positions inédites entre elle et moi. Au bord du lit, debout devant le grand miroir de la chambre, puis elle se penche en avant, les pieds joints, les paumes presque par terre, moi debout derrière, en train de la tringler au risque de lui faire perdre l’équilibre (mais elle est solide Mélissa, très robuste même). Nous allons même essayer de nous faire du bien debout, l’un en face de l’autre … peine perdue … pour cette fois-ci seulement : troisième défi.

    Et au final, ça fait des grands ‘slurp’ et Mélissa conclut : « je comprends pourquoi tu as besoin de 4 heures pour venir … avec tout ce qui vient !! »

    Quelques heures plus tard, pour vous écrire cette Expérience Vécue (EV), je suis affalé sur mon siège … parce que je ne tiens plus debout. Mélissa elle-même m’avouait « être très fatiguée » après nos ébats. Très physique je vous dis.

    Elle ne m’a pas cru quand je lui ai dit que j’allais rêver d’elle ce soir. Et comment pourrait-il en être autrement ?

    Allez, chou, on se revoit bientôt. J’ai trois défis à relever.

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  1. #


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    mars 2015
    Messages
    678

    Charnel Club : MELISSA (française originaire Martinique - Sénégal)

    Lorsqu’elle entre dans le salon, en compagnie d’une ou de deux collègues, elle est absolument inratable. Elle crève les yeux. Elle occupe l’espace. Elle capture mon regard, mon attention et, à vrai dire, tous mes sens. En une seule fraction de seconde je suis séduit. Sa remarquable présence ne va plus me lâcher.

    Mélissa est l’un des plus beaux spécimens de métissage réussi que j’ai vu. Maman sénégalaise, papa martiniquais. Une rencontre en France. Elle naît à Dakar, il y a 29 ans. Et aujourd’hui elle s’offre à moi dans toute sa splendeur, dans le salon du Charnel Club. Au point que j’en oublie de regarder les autres filles (9 en tout présentes ce jour, me dira plus tard Mélissa).

    Une vraie femme, grande (1m78), avec des seins naturels superlatifs (95 E, je crois … ou 95 D), café au lait (un petit nuage de lait seulement), un postérieur prodigieux et une chute de rein à faire pâlir de jalousie toutes les brindilles du monde et même la plupart des latinas que j’ai eu l’occasion de fréquenter. Rondeurs et fermeté. Tout ce dont un homme comme moi a toujours rêvé sans oser imaginer de le trouver dans le corps d’une seule créature.

    Mais ce qui m’a d’abord séduit chez elle, croyez-le si vous voulez, c’est son visage raffiné où irradie un sourire immuable et enjôleur. Je suis charmé, captivé et pour tout dire ensorcelé.

    Mélissa est gentille, cordiale, attentive, réservée et dotée d’une grande tendresse. Elle pourrait presque s’éprendre des hommes qu’elle rencontre pourvu qu’ils soient gentils, polis, propres, avenants, intelligents, respectueux et qu’ils aient beaucoup d’humour. Heureusement il semble que c’est une espèce assez rare.

    Je lui offre une coupe et lui promets immédiatement d’autres divertissements en ma compagnie. En d’autres termes nous allons prendre le temps de faire plus ample connaissance dans l’un des confortables canapés du salon avant de monter là-haut pour une partie … de plaisir – c’est ce que nous souhaitons l’un et l’autre – d’une heure. Cela faisait longtemps que je n’avais pas parlé avec une délicieuse 100 % francophone et ce social time était également fort agréable.

    La montée des marches vers la chambre où j’avais déjà eu l’occasion de me délecter avec Amber, est enivrante. Cette silhouette de Mélissa qui ondule dans l’escalier ferait bander un mort … alors vous pensez bien un bon vivant comme moi …

    Arrivés là-haut elle commence par vérifier que je ne l’avais pas trompée sur la taille prétendue de ma virilité (sujet dont nous avions échangé auparavant, en chuchotant). Elle fait ‘oh !’ et ‘ah !’ et pense comme moi que le préservatif standard de la maison va forcément un peu serrer. Rhabillage de votre serviteur qui descend prendre ses propres condoms dans la voiture garée devant. Et quand elle découvre ‘Durex XL’, elle n’aura plus de cesse que de m’appeler ‘Monsieur XL’ et de s’ébaudir de pouvoir passer une partie de son après-midi avec un ‘sexe XL’ … ce qui l’excitera pas mal, tout profit pour moi et pour notre plaisir à tous les deux.

    Les douches ont été modernisées depuis mon précédent passage au C.C. et c’est tant mieux. Car rien de tel pour finir de se mettre en condition d’être savonné et cajolé par les mains expertes de Mélissa.

    Ensuite passage aux choses sérieuses, à commencer par la fellation ‘nature’ que je ne regretterai pas une seconde d’avoir prise en option. Mélissa sait y faire, et comment. Et elle s’applique. Longtemps, très longtemps. J’adore ça. Je crois qu’elle aussi, toujours à vanter la taille de ce machin qu’elle boulotte et dévore dans tous les sens, pendant que je la titille avec aussi pas mal de bonheur.

    Après je vais m’envoler dans un autre monde. Nous allons alterner les positions les plus classiques pour terminer avec l’une ou l’autre qui n’existent pas, je crois, dans les manuels (‘dans le kamasutra’ dira Mélissa). Tout était fantastique avec deux moments exceptionnels : Mélissa en amazone, avec ses gros seins (très beaux) qui bougent au rythme de ses va-et-vient et, surtout, la levrette avec une vue arrière hyper-excitante sur le bas de son dos et ses fantastiques fesses.

    Tout cela est tellement plaisant que je veux jouer les prolongations. Et que je vais presque me faire un claquage à la cuisse … il serait temps que je prenne conscience qu’à mon âge certaines positions sont moins adaptées. Cette même position que Mélissa me dira pourtant avoir bien apprécié et qu’elle va mettre, j’en suis sûr, dans son propre catalogue pour la reproduire un de ces jours.

    Son magnifique sourire n’a pas quitté son visage pendant l’heure et demie que nous avons finalement passé ensemble et, ne parvenant pas à partir de suite, je lui ai proposé une autre coupe pour pouvoir encore profiter de sa présence dans ce même salon … où il est maintenant possible de discuter car le volume sonore a été considérablement baissé depuis ma précédente visite.

    Je suis reparti avec des souvenirs visuels – mais pas seulement – qui vont m’induire des beaux rêves cette nuit, à commencer par ton délicieux sourire, Mélissa, qui continue à me poursuivre.

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