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Discussion : au sommaire Sept à Huit dimanche 12 mars sur TF1 l

  1. #


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    novembre 2014
    Messages
    83

    Par défaut Très belle idée !

    Je vote pour ta proposition de loi

    Citation Posté par Olympus Voir le message
    Moi aussi , j'ai vu ce reportage et s'il se veut plus mesuré que d'autres, sur le même sujet, il véhicule, lui aussi, une image totalement partielle et donc biaisée de la prostitution. Rien de neuf, en conclusion!

    On a toujours droit à ce misérabilisme de bon ton médiatique, à savoir, ces pauvres filles, étrangères, ici françaises en Belgique, bien sûr majoritairement d'origine africaine, qui pour des raisons strictement économiques ( comprenez: c'est ni leur faute, ni leur choix délibéré, c'est uniquement sous le coup d'une contrainte sociale et financièreLOL!), sont obligées de se prostituer dans des boxons belges pour 3 euros 6 cents, pour " câliner" et surtout faire boire quelques michetons désoeuvrés et eux aussi présentés comme des " minables" des laissés pour compte affectifs et sociaux ( en instance de divorce, qui seraient incapables de retrouver une femme et donc qui sont obligés d'aller aux putes!:-))).
    Stop! à tous ces poncifs et archaiques lieux communs sur la prostitution.

    - D'abord, le type de prostitution montré dans le reportage n'est plus vraiment representatif du métier; il l'est, en tous cas de moins en moins, mais l'opinion publique l'ignore.
    Tous les travailleurs du sexe ne sont pas des victimes non consentantes OBLIGEES de se prostituer pour éviter, les coups, la faim, le chômage. Si certains d'entre eux repondent à ce profil, bien d'autres se prostituent librement, temporairement et surtout sciemment pour notamment se constituer rapidement un capital " défiscalisé". Il est vrai qu'une des intervenantes dit qu'elle prefère vendre ses charmes car avec quelques clients par mois, seulement, elle gagne mieux qu' une smicarde!!. C'est pas moral, mais c'est vrai.

    - Ensuite , tous les clients ne sont de " misérables michetons" (LOL). Ils ne frequentent pas tous les bordels, gogo bars ou trottoirs , mais une majorité de plus en plus conséquente ( et heureusement silencieuse:-) rencontre des escortes et autres libertines indépendantes, en hôtel ou appartement et cela se déroule entre adultes consentants, par un échange égalitaire de bons procédés sans que le client ou l'escorte ne soit " le misérable" de l'autre. Ça, evidemment, le reportage ne le montre pas, parce que c'est contraire à la doxa feministe dominante ( ne pas s'aliener la spectatrice de plus de 50 ans qui regarde TF1), conforme aux préjugés en cours sur la prostitution (" toutes ces pauvres filles victimes etc...") et puis surtout, il faut culpabiliser les hommes en leur renvoyant une image de micheton loser: en résumé, si tu vas voir des putes, t'es un pauvre type!!!
    Il faudrait leur dire à tous ces journaleux bien pensants ( qui font semblant de croire aux conneries qu'ils filment!) qu'il y a plein de types normaux, voire même heureux et épanouis en couple ;-), qui fréquentent malgré tout des escortes jeunes et jolies, ou pas, à la recherche de sensations épicuriennes nouvelles.
    Il y a même certains haut personnages politiques qui partagent cet avis... Mais... comme c'est pas moral c'est pas dicible:-).
    En résumé, quand on parle de prostitution à la télé, on reste donc encore très souvent sur des très vielilles recettes, obsolettes au niveau de la réalité, mais qui attirent toujours le chaland...
    A quand une loi pour prohiber le raccolage du telespectateur!?;-)

  2. #


    Inscription
    janvier 2013
    Messages
    369

    Par défaut Rien de nouveau sous le " soleil" mediatique...

    Citation Posté par ellieba Voir le message
    Le Replay de ce reportage :
    http://www.tf1.fr/tf1/sept-a-huit/vi...mars-2017.html

    Cela aurait pu être beaucoup plus misérabiliste. Le reportage précise que les francaises ont remplacé en grande partie les filles de l'Est. Des filles qui témoignent , il n'y a pas de proxénétisme de contrainte : une femme dont le couple est très endetté est venue se prostituer de sa propre initiative. Il y a également une étudiante dont les 2 parents sont cadres et qui a refusé l'aide de ses parents pour financer son cursus.

    Le reportage emprunte le terme abolitionniste "vendre son corps" ( au lieu de vendre des services sexuels), il n'est pas pour autant très moralisateur.

    On voit dans ce bar un monde de "faux-semblant" : un homme qui ne supporte plus sa solitude et qui tombe amoureux de l'étudiante, des filles qui une fois ont fait leur travail éprouve un besoin de se déconnecter de leur journée.


    Moi aussi , j'ai vu ce reportage et s'il se veut plus mesuré que d'autres, sur le même sujet, il véhicule, lui aussi, une image totalement partielle et donc biaisée de la prostitution. Rien de neuf, en conclusion!

    On a toujours droit à ce misérabilisme de bon ton médiatique, à savoir, ces pauvres filles, étrangères, ici françaises en Belgique, bien sûr majoritairement d'origine africaine, qui pour des raisons strictement économiques ( comprenez: c'est ni leur faute, ni leur choix délibéré, c'est uniquement sous le coup d'une contrainte sociale et financièreLOL!), sont obligées de se prostituer dans des boxons belges pour 3 euros 6 cents, pour " câliner" et surtout faire boire quelques michetons désoeuvrés et eux aussi présentés comme des " minables" des laissés pour compte affectifs et sociaux ( en instance de divorce, qui seraient incapables de retrouver une femme et donc qui sont obligés d'aller aux putes!:-))).
    Stop! à tous ces poncifs et archaiques lieux communs sur la prostitution.

    - D'abord, le type de prostitution montré dans le reportage n'est plus vraiment representatif du métier; il l'est, en tous cas de moins en moins, mais l'opinion publique l'ignore.
    Tous les travailleurs du sexe ne sont pas des victimes non consentantes OBLIGEES de se prostituer pour éviter, les coups, la faim, le chômage. Si certains d'entre eux repondent à ce profil, bien d'autres se prostituent librement, temporairement et surtout sciemment pour notamment se constituer rapidement un capital " défiscalisé". Il est vrai qu'une des intervenantes dit qu'elle prefère vendre ses charmes car avec quelques clients par mois, seulement, elle gagne mieux qu' une smicarde!!. C'est pas moral, mais c'est vrai.

    - Ensuite , tous les clients ne sont de " misérables michetons" (LOL). Ils ne frequentent pas tous les bordels, gogo bars ou trottoirs , mais une majorité de plus en plus conséquente ( et heureusement silencieuse:-) rencontre des escortes et autres libertines indépendantes, en hôtel ou appartement et cela se déroule entre adultes consentants, par un échange égalitaire de bons procédés sans que le client ou l'escorte ne soit " le misérable" de l'autre. Ça, evidemment, le reportage ne le montre pas, parce que c'est contraire à la doxa feministe dominante ( ne pas s'aliener la spectatrice de plus de 50 ans qui regarde TF1), conforme aux préjugés en cours sur la prostitution (" toutes ces pauvres filles victimes etc...") et puis surtout, il faut culpabiliser les hommes en leur renvoyant une image de micheton loser: en résumé, si tu vas voir des putes, t'es un pauvre type!!!
    Il faudrait leur dire à tous ces journaleux bien pensants ( qui font semblant de croire aux conneries qu'ils filment!) qu'il y a plein de types normaux, voire même heureux et épanouis en couple ;-), qui fréquentent malgré tout des escortes jeunes et jolies, ou pas, à la recherche de sensations épicuriennes nouvelles.
    Il y a même certains haut personnages politiques qui partagent cet avis... Mais... comme c'est pas moral c'est pas dicible:-).
    En résumé, quand on parle de prostitution à la télé, on reste donc encore très souvent sur des très vielilles recettes, obsolettes au niveau de la réalité, mais qui attirent toujours le chaland...
    A quand une loi pour prohiber le raccolage du telespectateur!?;-)

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  1. #


    Inscription
    octobre 2011
    Messages
    219

    Par défaut au sommaire Sept à Huit dimanche 12 mars sur TF1 l

    http://www.stars-actu.fr/2017/03/som...-12-mars-2017/
    Double vie
    Elles n'auraient jamais imaginé pousser un jour la porte d'une maison close. Et encore moins y travailler en tant que prostituées. Des centaines de Françaises en situation de précarité, mères de famille solos, étudiantes, employées à temps partiel, passent désormais la frontière pour vendre leurs corps en Belgique où les maisons closes ont pignon sur rue.

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