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Discussion : MARTINA (brésilienne - brune)

  1. #


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    octobre 2009
    Messages
    114

    Par défaut

    Je l'ai vu et le temps m'étant compté je n'ai pu faire que 2 sessions, mais elle aurait été sans aucun doute ma 3eme !

    Elle très belle, très fine et un petit fessier brésilien type bundinha à croquer !

    Elle est fine et sportive, un très beau visage super souriante tout le temps en salle !

  2. #


    Inscription
    juillet 2008
    Messages
    860

    La vengeance est un plat qui se mange froid...

    L'imprécation d'Hétaïre.

    Les hommes sont joyeux, la fête dure encore.
    Les ravis sous l'envie désirent dès l'aurore.

    Là, le bruit de l'orgie ; ici le bruit des verres.
    Là, Fandor, L'Autre Glaude, sycophantes madrés, rongés aux vers,
    De celles qu’ils ont trompées cherchant la pauvre trace,
    Méditant sur leurs vits ainsi ainsi que sur leurs frasques,
    Contemplent, seuls, et loin des rires triomphants,
    Leurs forfaits, moins hideux que leurs sexes pendouillants.
    Dans leur avidité, jusqu'à ce jour entière,
    Ces bandeurs sont frustrés. Martina leur échappe,
    Les élans de son coeur, et son regard si doux,
    Se gardent pour un autre, attisant leur courroux.

    Le Globe, plein d'oursons, de canons, de beautés,
    S'offre, très accessible, au milieu des forêts.
    Mille bombes partout, houris aux yeux ardents,
    Offrent leurs corps parfaits à leurs regards brûlants.
    Tout attire et subjugue en ce lieu formidable.

    Faisant, d'un coin désert, un réduit délectable,
    Femme et jeune, presque nue, se caressant le cou,
    De dentelles dévoilée, cette hétaïre dénoue,
    Le flot de ses cheveux. On dirait une reine.
    Mais, ô punters, pleurez! cette Déesse est la mienne!

    C'étaient "Les délires d'Hétaïre" n°98



    Pour mémoire:

    L'imprécation de GUANHUMARA.

    "Les princes sont joyeux. Le festin dure encore.
    Les captifs sous le fouet travaillent dès l’aurore.

    Là, le bruit de l’orgie ; ici, le bruit des fers.
    Là, le père et l’aïeul, pensifs, chargés d’hivers,
    De tout ce qu’ils ont fait cherchant la sombre trace,
    Méditant sur leur vie ainsi que sur leur race,
    Contemplent, seuls, et loin des rires triomphants,
    Leurs forfaits, moins hideux encor que leurs enfants.
    Dans leurs prospérités, jusqu’à ce jour entières,
    Ces burgraves sont grands. Les marquis des frontières,
    Les comtes souverains, les ducs fils des rois goths,
    Se courbent devant eux jusqu’à leur être égaux.

    Le burg, plein de clairons, de chansons, de huées,
    Se dresse inaccessible au milieu des nuées ;
    Mille soldats partout, bandits aux yeux ardents,
    Veillent l’arc et la lance au poing, l’épée aux dents.
    Tout protége et défend cet antre inabordable.

    Seule, en un coin désert du château formidable,
    Femme et vieille, inconnue, et pliant le genou,
    Triste, la chaîne au pied, et le carcan au cou,
    En haillons et voilée, une esclave se traîne…
    Mais, ô princes, tremblez ! cette esclave est la haine !"

    Victor HUGO. Les Burgraves (acte 1, scène 1)

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  1. #


    Inscription
    juillet 2008
    Messages
    62

    MARTINA (brésilienne - brune)

    je veux faire Martina!

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