Pour ma dixième session avec la flamboyante j'avais commencé à écrire un petit texte dans mon récit, mais comme il prenait de l'importance j'ai décidé de le déplacer ici où je vais pouvoir m'étendre.
Mélissa est une belle femme. Bon, ça démarre mal. C'est une très belle femme. Et c'est son plus grand problème. Un des clichés que tout Français connaît est « Tous les goûts sont dans la nature » et c'est une bénédiction car sans ça la pratique des FKKs serait un Battle Royale où les clients se battraient à fleurets mouchetés (et pour certains même sans mouche) pour accéder aux mêmes filles. Mais même pour les personnes dont le type physique de Mélissa ne fait absolument rien, elles reconnaissent qu'elle appartient à une catégorie bien spéciale. On n'est plus dans le domaine du modèle, le top 10% des filles de l'ensemble des FKKs, mais dans celui du super-modèle. Elle fait partie des 1%.
25 ans, 1m72, pas un gramme de graisse mal placé, une poitrine bonnet B en parfaite adéquation avec sa ligne, un très jolie visage avec un grand sourire (que l'on ne voit pas assez souvent), des lèvres pulpeuses dont je n'ai jamais réussi à me décider si elles sont améliorées ou pas (probable mais alors très réussie), un ventre plat comme une lame de rasoir, des fesses à damner un pape, résultats de centaines de séances de squats. Elle est le paquet intégral.
Pourquoi est-ce son problème ? Car bien trop d'hommes fréquentant le club souffrent de deux mythes. Le premier est le bon vieux « Trop belle pour avoir besoin de bien bosser ». De mon expérience, quelle que soit la position d'une femme dans la distribution standard de l'attirance physique, la probabilité qu'elle bâcle le travail change de façon insignifiante. Dans le cas de Mélissa, n'importe qui ayant été une fois avec elle pourra confirmer qu'elle fait le job et cela même si évidemment tout le monde ne va pas accrocher à son style.
Sa fellation est toujours de bonne qualité, avec de temps en temps des pointes dans le très bon quand elle se positionne à quatre pattes entre vos jambes et qu'elle travaille votre membre sur l'ensemble de la longueur sans utiliser les mains. Mais c'est dans le sexe qu'elle prend toute son ampleur, quelle que soit la position que vous souhaitez prendre elle vous suivra et c'est vous à un moment ou un autre qui ne pourrez plus suivre. Elle n'est jamais fatiguée, elle ne demande jamais de changer de position, elle continuera tant que votre luxure le veut et votre corps le peut. Ma position préférée avec elle est le cheval renversé où elle se tient parfaitement droite sur votre membre et vous pouvez voir ses fessiers splendides et les muscles de son dos travailler. Il n'y a pas beaucoup de femmes qui peuvent tenir cette position longtemps et plus d'une va même simplement refuser de la faire.
Pour la majorité des hommes son plus grand défaut en chambre sera probablement le manque quasi-complet de GFE, quand vous commencez à la connaître elle s'ouvre sensiblement plus mais elle reste à des années-lumières d'une Amanda par exemple en terme de proximité. Pour moi son plus gros point négatif est l'impression d'une certaine passivité durant le sexe, alors qu'elle est clairement active comme dit dans le paragraphe précédent, ces deux défauts jaillissent de la même source, son refus de toute forme de simulation, d'hypocrisie. Enfin, cela semble bête à dire après ma tirade élogieuse sur sa résistance, mais il y a quelque chose de plaisant à fatiguer une fille.
Second mythe, bien plus pernicieux, le « Trop belle pour moi ». Il se cache souvent derrière le premier, mais comme on entre dans le domaine de la psychologie je ne souhaite pas vraiment m'y attarder, le risque étant d'entrer dans de la discussion de PMU.
Me concernant, ma relation avec ces deux mythes se résume en un vers de la chanson la plus célèbre de Louise Attaque : « Et qui dit belle dit pour moi ».
Tout cela explique pour une bonne part les difficultés qu'elle rencontre pour trouver de la clientèle. Plus d'une fois elle m'a indiqué que telle ou telle journée elle n'avait fait aucune chambre, ou une seule car elle l'avait quémandée à un de ses réguliers. Alors qu'avec son physique exceptionnel et ses services de très bonne qualité elle devrait tourner comme Brenda.
Mais une bonne part seulement, car Madame a aussi ses petits défauts. Soyons diplomate : Mélissa est opiniâtre. Une fois qu'elle a une idée arrêtée sur un sujet, vous ne pourrez jamais la faire changer d'avis. Et je sais, pour y avoir assister à plusieurs reprises, qu'elle se froisse avec des clients suite à des disputes frivoles des fois vieilles de plusieurs mois.
Enfin, il est fascinant d'étudier son comportement en salle, que ce soit comment elle s'assoit dans son canapé, le dos à la salle, totalement oublieuse du reste du club, ou sa démarche quand elle fait le tour du bar pour « chasser », la focale du regard dans la distance comme si elle voyait à travers les murs, droite comme un I. Non, Mélissa ne va jamais s'abaisser à chasser, elle rappelle juste son existence à ceux pour qui le canapé étrange est un espace inaccessible au fond du club. Lors de la toute première discussion que j'ai eue avec elle, elle m'a dit que certaines personnes la trouvaient arrogante. Eh bien, ça alors !
L'idée était de pouvoir m'étendre, pas de m'affaler. Mais bon, le panégyrique est un petit exercice sympathique, je le referais à l'occasion. Tschüss.