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Discussion : MARIA (bulgare, brune avec taches de rousseur - n° 218, Waucat, en journée)

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    Aurélio Guest

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    M'est avis qu'on peut archiver, depuis le temps qu'elle n'est plus là ...

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    décembre 2011
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    66
    On me dit qu'elle fera des escortes maintenant ?

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    Aurélio Guest

    MARIA (bulgare, brune avec taches de rousseur - n° 218, Waucat, en journée)

    Plus de trois semaines sans, additionnées d’une chasteté masturbatoire de près d’une semaine : c’est dire l’état qui était le mien lorsque je me dirigeai, en milieu d’après-midi, vers ma rue bruxelloise favorite, curieux de savoir si j’y verrais toujours les mêmes visages, ou si, au contraire, cette période d’abstinence me vaudrait la joie de nouvelles découvertes. En pessimiste que je suis, je m’attendais plutôt à la réalisation de la première hypothèse, et je ne me trompais qu’à 10 % près ; mais ces 10 % - trois ou quatre filles jamais vues, qui décuplèrent aussitôt les exigences de ma libido échaudée par la privation – valaient assurément le déplacement.

    Au 218, dernier bar de la rue, à l’étage, se dessinait l’excitante silhouette d’une fille dont je saurais bientôt qu’elle se faisait appeler Maria, 25 ans au compteur, mais ne les faisant en aucune façon, présente en la rue depuis un mois tout juste. Ce qu’il y avait en elle qui me plaît, toujours et en tous lieux : pas trop grande, une sorte de gracilité adolescente, seins menus, pas une once de graisse, et une façon volontaire, enjouée, mais pas trop insistante non plus, d’attirer à elle le chaland. Il ne me fallut donc pas plus d’une minute, pressé que j’étais d’en découdre, pour jeter sur elle mon dévolu et, bientôt, en elle, la partie la plus sensible de mon anatomie, délestée d’étoffes superfétatoires mais obligatoires en société, et des 50 € prévus pour la gaudriole.

    Auparavant, bien sûr, il y avait eu prise de contact, avec des effleurements de lèvres à lèvres, sans exagération (mais j’attache tellement de prix à ce contact pudique, pas si souvent permis, qu’il ne me vient jamais l’audace, sauf sollicitation - aubaine encore plus rare - d’y impliquer la langue), ayant pour résultat de me donner une trique d’enfer. Puis, une fois nu, moi simplement assis, sans ordre d’avoir à me coucher, comme c’est si souvent le cas, Maria se mit en devoir d’accomplir scrupuleusement l’œuvre de bouche, savante, irrésistible, mais à laquelle je résistai tout de même, tant j’eus trouvé dommage de briser là, ne voulant pas rater une partie de mon sport favori, le seul à vrai dire que je pratique, à défaut d’y briller particulièrement : la bête à deux dos…

    Convenu, l’exercice ne produisit chez Maria qu’un intérêt mesuré , source chez moi d’un début de déplaisir ; mais l’habitude des rapports vénaux m’aida à passer outre à ce que je considère, après tout, comme une attitude normale, ou à tout le moins prévisible, pour autant que cette posture d’indifférence n’ait pas l’air de me viser moi particulièrement, mais le mâle payeur en sa généralité, dont je puis comprendre qu’il ne fasse pas grimper au plafond, mais plus souvent y compter les mouches, pour autant qu’il y en ait, ce qui n’était heureusement pas le cas ce jour-là. En outre, malgré qu’elle se dispensât de toute manifestation d’enthousiasme simulé, Maria sut se disposer en manière telle que je le voulus, jambes tendues et serrées le long de mon torse, moi seulement attentif, vu son visage hermétiquement fermé, au spectacle de mes coups de verge dans sa vulve étroite, fente qu’il me serait encore agréable de contempler une fois mes testicules soulagés de leur excès de semence, chacun de nous disposé en chien de fusil, et devisant gentiment comme si le temps venait de s’arrêter.

    Car, les formalités charnelles accomplies, en un temps assez bref, résultat de l’abstinence déjà dite, une sympathique conversation en anglais de cuisine devait s’ensuivre, qui me montrerait que Maria n’était guère pressée de me flanquer dehors. Et ces échanges verbaux, plus que ce qui venait d’avoir lieu de platement animal entre nous, m’attacheraient un peu plus durablement à cette petite sœur d’infortune (chacun la sienne, la mienne dérisoire sans doute en regard de la sienne, mais n’en existant pas moins), si bien que je n’exclus pas de revoir dans les semaines qui viennent.

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