Nationalité / langues parlées : bulgare/ bulgare-allemand-rudiment de russe
Age : vingtaine
Visage : charmant, mais disgracieux de plus près
Cheveux : brun et très très très long (bas du dos)
Taille :1m75
Poitrine :95 b/c
Silhouette / corps : carrure imposante
Tatouages - Piercings :
Fellation : oui
Cunni ui
Embrasse (oui- non) : ne préfère
Autres caractéristiques : un sens du touché inégalé

Il existe un fil sur une fille du Bernd's ayant un prénom similaire (ayline), mais la description laconique et les détails peu concordant m'oblige à ouvrir un nouveau fil de discussion.

Comme ses deux compatriotes bulgares (alex et irina), sa nature discrète et son physique imposant (plus proche de la fameuse katja que de la fluette ericka) pourrait éloigner le punter en manque de sensation: grossière erreur. Cette fille sait faire preuve d'une délicatesse dans ses caresses et sait également parfaitement comment marche le corps des mâles qui passent entre ses doigts. On pourra toute fois lui reprocher son manque de talent en tant que comédienne érotique (l'usage de grosse et vieille ficelle ne pourrait convaincre que les plus éméchés et naïfs des oursons).
Je suis une heure et demie avec elle (une session d'une heure et une autre d'une demie-heure).
Au moment de payé et de partir, j'ai eu droit à une série de baisers qui font chaud au cœur.



Elle nous avait accueilli en compagnie d'Alex lors de notre arrivée et son physique, loin de me repousser, ne m'avait pas laisser indifférent. Après avoir fait le tour du propriétaire comme à mon habitude, je décide de me poser tranquillement sur les canapés du bar au RDC. Ma chère Eileen était la seule qui semblait me prêter attention et désireuse de faire connaissance. Après de courtes hésitations et la vision d'alex me glisser sous les doigts (après avoir prodigué une fellation juste à mes côtés), je me décide d'aller m'asseoir non loin d'elle. Y voyant une occasion de m'hameçonner, la belle se livre aux jeux des questions/réponses habituelles tout en prenant soin de découvrir mon anatomie. Sans la moindre demande de ma part, j'ai rapidement reçu une chaleureuse fellation qui ne pouvait laisser aucun doute sur l'issue de son entretien de débauche.
Après avoir prolongé nos ébats sur le canapé, la suite de nos activité exigeait un peu plus d'intimité.

Je me souviens m'être agenouillé face à elle, elle dos au mur, pour la gratifier d'un broutage comme je les aime. Malgré une certaine tendance à la simulation, certains frémissants de son anatomie trahissait un plaisir indiscutable. La fellation en retour fut agréable et agrémentée d'un léchage de boule à ma demande. La sentant un peu trop dynamique sur cette zone, je lui demande de faire preuve de plus de délicatesse et de subtilité. Et là, non seulement elle s'exécuta avec délectation, mais pris soin de montré toute la palette de ses talents. En alternance avec la fellation, elle entreprit un mélange subtil entre une douce branlette et un massage. Le tout huilé par sa salive qu'elle prenait un malin plaisir à déverser comme on le voit trop souvent dans ses productions audiovisuelles pour adulte averti.
C'est à mon grand regret que je dû interrompre son activité pour la remplacer une autre un peu éjaculatoire. Je ne m'étais apparemment pas rendu compte de l'effet produit par ses caresses, car pourtant adepte des positions multiples, je dû me contenter d'un bien trop court missionnaire.
Le massage du dos post-coït auquel j'eus droit, fut bien la preuve que la demoiselle possédait un véritable talent entre les doigts.


Tout aurait pu s'arrêter là, si je n'avais pas accepté de retomber entre ses griffes.
En fin de soirée, je lui fis part de mon intention de partager un moment d'intimité de plus avec elle (une fois mes batteries chargées à bloc), après l'avoir vu s'acharner comme une diablesse sur un ourson allemand (ayant cru pouvoir enchaîner 3 sessions en moins de trois heures). En attendant, les échanges continuaient sur ce grand canapé entre ces trois charmantes bulgares et les trois youppinautes français. Malgré sa tentative pour attirer un de nos compagnons entre ses cuisses (pour un petit cunni), elle dû se contenter d'un petit massage de ma part. Moi qui pensais avoir le temps de faire le plein d'énergie, c'était sans compter sur sa perversité. Le dos tourné, sa petite main n'a pas hésité à caresser mon intimité et par un enchaînement naturel, me voilà à nouveau prisonnier de ses caresses. Mais là, usant des informations puisées de nos ébats précédant, elle décida de me mettre à nu en me prodiguant les mêmes caresses aux centuples (pour être sûr que je sois totalement à sa merci). Les sensations éprouvées (et ce en public) ne pourraient malheureusement pas être retranscrit par des mots, mais la vérité m'oblige à avouer que rarement (pour ne pas dire jamais), je n'avais atteint un tel état de transe. Un sentiment de flottement agrémenté d'une sensation de jouissance continue.
La prestation en chambre fut similaire à la première, si ce n'est que je pris le temps de profiter de son arrière-train en levrette (debout pour finir couché sur le lit) tout en prenant plaisir à admirer nos deux corps enlacés dans le miroir jusqu'au coup de grâce.