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Discussion : DEBORAH (russe, blonde - n° 194, shift de nuit)

  1. #


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    mars 2008
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    Par défaut

    Il s’agit d’une mature blonde avec des rastas qui est là depuis longtemps dans la rue. Très mince avec une grosse poitrine refaite (que je n’ai pas trouvée très belle), tjrs insistante en vitrine en montrant 3 de la main.
    Je ne sais pas pq mais ce soir, je décide d’y rentrer. Elle propose effectivement le tarif à 30 ;40 avec positions.
    Je la paye et elle revient un peu plus tard pour dire tous ses tarifs : 200 l’heure avec anal. Je lui demande si elle fait l’anal sans prendre l’heure : minimum 50 en plus des 30. Elle est pas très bavarde à part pour énoncer ses tarifs. Pipe bien faite, avec de longs va-et-vient insistant, mais rapide, comme pour respecter son timing. Sans un mot, elle place sur le dos, écarte les jambes, j’admire un peu sa belle chatte : « Come on baby ». Elle garde son coté excitante. Rapidement, elle presse pour en finir, à peine le temps d’éjaculer qu’elle se retire, se rhabille vite et retourne en vitrine. Dans le genre expéditive, elle est plutôt très douée. Je n’avais pas fini de me rhabiller qu’elle revient me dire de me dépêcher en me disant qu’elle a un autre client. En me raccompagnant à la porte elle me dit que je peux revenir, qu’elle est là jusqu’à minuit, en re-récitant ses tarifs. Domme qu’elle est si expéditive car j’aurai bien fait l’anal avec elle une autre fois. En 8’00 j’étais dehors.
    Pour 30 €, je n’ai pas eu de regrets, mais n’y retournerai pas.
    Ele est de Moscou et fait18h00- minuit

    Certain que le post de Trash1978 » de ce fil parle d’elle https://youppie.net/showthread.php?2...hlight=deborah

  2. #


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    avril 2010
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    Par défaut DEBORAH (Russe, blonde - no 214 - shift de nuit)

    Passage en fin de nuit, ou début de journée si vous préférez.... bref, un samedi matin vers 6 heures, il n'y avait plus grand choix puisque le changement nuit/jour s'opérait.
    Au 214, une blonde, très fine mais aux seins hyper siliconés fait du rentre dedans et appelle les quelques rares clients qui s'apprêtent à faire demi tour en fin de rue.
    Pas vraiment la plus jolie, à 30 euros et devant le peu de choix... je rentre.
    Session classique pour la rue et tout de même 2 positions pour ce prix. Un bon rapport Q/P !
    La fille est plutôt sympa, me semblait plus grande en vitrine, mais une fois ses chaussures enlevées, ressemblait plus a un modèle de poche, très léger
    Bref, rien de bien exceptionnel mais un rapide petit coup, vite fait bien fait et je ressort de chez cette fille qui reçoit, de ma part, la mention "satisfaisante"
    Shift de nuit 6h/6h et parfois jusque 7 heures, ce qui expliquait qu'elle était toujours présente en vitrine alors que la plupart de ses collègues de nuit avaient déjà désertés les lieux.

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  1. #


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    octobre 2006
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    560

    DEBORAH (russe, blonde - n° 194, shift de nuit)

    Je n'avais plus mis les pieds rue d'A depuis mes adieux à Martina l'an dernier à la même époque. Un instant de désoeuvrement m'y a repoussé, et j'ai repris mes anciennes habitudes : faire deux fois la rue de haut en bas pour repérer un petit lot, et tout à coup, au 194 (enfin je crois, j'ai oublié de regarder le numéro, c'était au début du dernier bloc, après l'échafaudage), je vois une fille blonde aux abdos bien dessinés qui me sourit; Je suis plutôt incapable de résister à une fille aux abdos bien dessinés, c'est là mon grand problème...

    Prenons d'abord les aspects positifs : Debora est gentille, pas arnaqueuse, elle a de beaux abdos et elle se laisse doigter.

    Pour le reste, c'est la cata. Il ne fait pas assez chaud, elle propose de commencer par un massage qui se résume à étaler de la crème froide sur mon dos sans le moindre talent. Je me retourne, pensant qu'elle va rendre l'exercice un peu plus érotique, mais non. Je lui demande gentiment de passer à Popol, mais c'est comme si elle restait en mode 'étalement de crème'. Pas le moindre soupçon d'érotisme. Là, je me dis qu'à son âge (ce n'est plus une jeunette) elle ne débute quand même pas dans le métier. puis, au cours d'une conversation de trois mots, le mot 'sexe' est prononcé. Avec l'air de dire 'c'est toi qui décides mon chéri', elle se saisit d'un préservatif aussi épais que Bart De Wever (désolé amis français, c'est une référence belgo-belge, mais si vous êtes sur ce fil, vous devez un peu apprendre 'une fois' à saisir les subtilités de notre CULture) et me l'enfile. S'en suit une pipe mécanique, où je dois lui montrer moi-même comment j'aime qu'on s'occupe de mes couilles, puis elle s'empale sur moi. Et je m'emmerde...
    Le corps un peu musclé que j'avais aperçu au travers de la vitrine n'est plus que dur. Sa peau est rêche, ses seins refaits ne sont pas agréables au toucher, elle n'a pas de fesses, son visage est tiré.
    Dans la couche d'à côté, une fille reçoit visiblement un client qu'elle connaît bien, elle surjoue la salope qui veut qu'on la prenne fort... et ça m'excite plus que ce que je suis en train de vivre moi-même. Je jouis presque sans le savoir...
    Le problème, c'est qu'il reste 10 minutes, et Debora veut honorer ses engagements jusqu'au bout. Mais qu'est-ce qui m'a pris de prendre une demi-heure ? Elle retente un massage de Popol, mais rien n'y fait. J'abandonne la partie. Debora from Moskva (elle a l'air aussi russe que je suis polonais, mais bon...), adios !

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