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Discussion : Le tabou de la prostitution est-il en train de se dissoudre

  1. #


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    mai 2010
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    Citation Posté par fandor Voir le message
    Le tabou de la prostitution est-il en train de se dissoudre ?...

    Actuellement, je suis à la recherche d'un emploi et souvent, à la fin de mes entretiens, on me demande quels sont mes hobbys, mes centres d'intérêts ?
    Tant qu'à faire, je joue la franchise, il paraît que c'est une qualité alors...
    "Mes hobbys ? La lecture, le cinéma, le sport et 'pis les FKK".

    Ceci dit, je suis toujours à la recherche d'un emploi. Allez comprendre...
    c"est a ne rien y comprendre ; un drh masculin devrait etre intéréssé par ces activites; tandis qu'une DRH devrait l"etre par tes performances ! bref le monde de l'hypocrisie ...

    et etre membre actif permanent/ organisateur/ modo sur un forum (des forums de discussion) reputé , ca fait bien sur un CV ?

  2. #


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    décembre 2010
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    Citation Posté par Potemkine Voir le message
    Pourquoi revendiquer être occasionnelle, et refuser d'être cataloguée comme professionnelle ?
    A croire que se déclarer être occasionnelle et plus valorisant que professionnelle.
    D'ailleurs comment définir ou différencier une occasionnelle d'une professionnelle ?
    Une occasionnelle qui a une activité à côté et acceptent une ou deux rencontres par jour est-elle toujours occasionnelle par rapport à une professionnelle qui accorde un seul rendez-vous par jour (les tarifs plus ou moins élevés pouvant permettre un allègement du nombre de rendez-vous par jour) ?
    A partir de combien de rendez-vous ou de quels tarifs est-on une occasionnelle ou une professionnelle ?
    Y a-t-il plus de mérite à se convaincre d'être occasionnelle ?
    Est-ce l'ultime tabou d'être reconnue comme une professionnelle ?
    Très bonne réflexion.
    Je continue, plus basé sur mon expérience personnelle.
    De mes 15 à 18 ans, chaque fois que je passais au boulot de ma mère, j'avais une foule de regards, de toutes les femmes de 40-45ans, et c'est à ce moment-là que j'ai longuement réfléchis à me prostituer.

    De mon point de vue, la nuance entre être occasionnelle et professionnelle, c'est la manière dont on utilise les revenus de cette activité.
    J'ôte volontairement la notion de plaisir de cette réflexion, car on voir les sportifs pros, artistes, etc, et tous nous voyons que ce n'est pas si facile...

    L'occasionnelle fera ça soit pour une énorme dette qui vous tombe dessus, un aléa de la vie (je sais pas, accident de voiture/sport d'un membre de sa famille sans remboursement d'assurance/mutuelle, dégats des eaux, etc) ou pour un énorme cadeau pour une occasion ultra spéciale (ouais, je ne donne pas d'exemple, mais je pense à des cadeaux qu'on ne reçoit qu'une fois ou deux dans sa vie, pkoi pas une grosse, bref du gros rêve), ou plus original encore pour avoir du capital pour monter sa boite !
    Bref, il faut que les gains qu'on espère en tirer ne soit pas fondamentaux pour assurer notre train de vie.

    La professionnelle base son train de vie sur les gains de ses rendez-vous coquins.

    Tout du moins, c'est comme ça que je concevais la profession, ou mon envie de le faire.


    Qu'en pensez-vous ?

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  1. #


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    janvier 2008
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    Par défaut Le tabou de la prostitution est-il en train de se dissoudre

    dans le libertinage tendance ?

    http://madame.lefigaro.fr/societe/la...e-161110-29526

    Interessant en particulier le discours décomplexé de certaines femmes:
    Marion, 23 ans, escort occasionnelle « pour mettre du beurre dans les épinards », ne le démentit pas : « J’ai toujours aimé le sexe. Et puisque je ne me reconnais pas dans les schémas de couple, d’engagement et de fidélité, j’ai toujours eu beaucoup de partenaires. Un client n’est donc pour moi qu’un partenaire sexuel de plus… »

    Nathalie, 26 ans, qui comme Marion revendique son statut d’occasionnelle, confirme : « Je suis de plus en plus branchée par des mecs qui ne veulent pas aller seuls en club et n’ont pas de copine pour les accompagner. Mes clients me payent autant comme ticket d’entrée pour les soirées couples que parce que je leur plais. » Et quand elle ne vend pas ses services en club, Nathalie reçoit à domicile entre deux révisions pour son master en lettres modernes : « Je couche avec mes clients exactement comme mes copines couchent avec les plans d’un soir qu’elles ramassent sur les sites de rencontres. La seule différence, c’est que quand c’est nul, j’ai au moins la satisfaction de l’argent. Quitte à libertiner, autant rentabiliser. »
    ...
    « J’ai accepté de répondre à vos questions pour faire passer une idée : on peut être jeune, mignonne et se prostituer de temps en temps, sans pour autant être victime du système ou de je ne sais qui ou quoi. Je ne me vends qu’à des mecs que je trouve mignons. Les vieux, les gros, les moches, je les zappe directement. »

    « Bien sûr, certaines fois, même avec un mec mignon, je m’ennuie. Il m’arrive aussi de déprimer, de me sentir seule, sale même, mais exactement comme dans une vie sexuelle normale ! Un plan raté, ça fait les mêmes dégâts, que l’on se fasse payer ou non. C’est quelque chose de très banal… »

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