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Discussion : Epinal : OCEANE (black de passage)

  1. #


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    décembre 2007
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    2

    Par défaut des noms & contacts svp

    Citation Posté par marc0160 Voir le message
    Qu' elles sont ces blaks que tu peut avoir pour 3 heures de baise et pour une sommes inférieur
    Bonjour. Je remonte le fil. Auriez-vous l'amabilité de nous en dire plus sur ces occasionnelles? Qui sont-elles? Comment les contacter? Merci

  2. #


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    mai 2011
    Messages
    13

    Par défaut

    Qu' elles sont ces blaks que tu peut avoir pour 3 heures de baise et pour une sommes inférieur

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  1. #


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    avril 2010
    Messages
    158

    Par défaut Epinal : OCEANE (black de passage)

    De passage, hier (soit vendredi 6 mai) à Epinal. Et comme une furieuse envie de baiser. Une black. Puisque l’offre locale se résume, peu ou prou, à ça. Et que j’aime plutôt beaucoup les blacks (les blondes de pays plus au nord aussi, les latines tout autant, enfin bref, j’aime les filles comme le chantait Dutronc). J’avais calé un rendez-vous avec Marine (http://escort.vivastreet.fr/escort-g...-iles/30253391). Parce que j’avais croché sur ses photos façon profil de Facebook, pas du tout sexe (encore que Papa Freud aurait pu faire tout un bouquin autour de celle où cette jeune fille enjambe un fut de canon…). Une réunion qui s’éternise. Je rate le rendez-vous. Et Marine, a priori, tout aussi désolée que moi, qui m’annonce que pour ce vendredi, c’est râpé… Ce sera, sûrement, pour une prochaine fois (je vous raconterai). J’ai une furieuse envie de baiser. Une black. Les annonces de Vivastreet. Deux répondeurs. La troisième (http://escort.vivastreet.fr/escort-g...93414/33729890) réponds. « 100 euros pour la durée de la prestation ». Bizarre mais bon. J’ai une furieuse envie de baiser. Une black. Je prends le chemin d’un hôtel un peu cheap de la périphérie. Coup de portable pour connaître le numéro de la chambre. « Euh, rappelez dans cinq minutes ». Bon. Pas grave. Un client doit être en train de boutonner sa chemise. Sinon qu’il y a dix minutes, elle a répondu aussi. Bon. Pas grave non plus. Le dit client devait être sous sa douche. Cinq minutes plus tard, j’ai le numéro de la chambre. Je frappe. La « belle et douce tigresse » m’ouvre. En pleine négociation d’une séance S.M. au téléphone. Bon. J’ai une furieuse envie de baiser. Une black. J’entre. La fille n’est –évidemment- pas celle de la photo mais ça, comment dire, je le savais déjà. J’ai le temps de la détailler pendant qu’elle parle fouet et martinet au téléphone. Au dessus de jambes prises dans des bas résille et posées sur des mules à talons vertigineux, un cul, un vrai, dans un string rouge. Une guêpière rouge et noire qui cache des seins beaucoup moins impressionnants que ceux de la photo. Et un mignon visage. Océane raccroche. J’évoque la possibilité de prendre une douche. Non. Parce que ça rallongerait la séance. Bon. J’ai une furieuse envie de baiser. Une black. Je vire mes fringues. M’allonge sur un lit qui a, apparemment, déjà pas mal servi ce jour là. Océane commence à me branler. Fait glisser sans façons string et guêpière. Joli cul effectivement, imposant mais ferme de ce que mes mains peuvent en juger. Elle se caresse les seins, un peu tombants comme sur les photos de reportages en Afrique dans les Paris Match de mes grands-parents, ondule joliment du bassin. Fellation proposée et –évidemment- acceptée. Profonde, douce, bien quoi. Océane commence à gober doucement mes couilles quand son portable sonne. Et, ouais, vous vous y attendiez, moi aussi, elle s’interrompt pour répondre. Me branle pendant la conversation, qui s’éternise un peu. Les propositions de son interlocuteur s’accumulent, les prix grimpent, elle en est à 250 euros et ce truc qui devrait me faire instantanément débander m’excite au plus haut point. Le téléphone rose de mon adolescence, en direct-live. Je lui demande d’arrêter ce qu’elle fait avec sa main juste avant de jouir. Elle coince encore un peu au téléphone en se titillant les tétons. Je suis à bloc, là. « A dans trois minutes » conclut la jeune fille avant de raccrocher. Ca doit en faire vingt que je suis là et je commence, vaguement, à flipper (un peu ma faute, les gars, j’assume, je ne négocie jamais rien, ni au téléphone, ni en début de session…). D’autant qu’ Océane s’est mise en tête de me branler, un peu frénétiquement cette fois, « vous aimez ça , hein », genre, maintenant, il faut en finir, j’ai un autre client dans trois minutes. Pour 100 euros, la « prestation » est censée se limiter à ça ? Naaaan ?! « Je peux te prendre, là maintenant » ? « Bien sûr ». Amazone. Son sexe est serré, très. Son ventre plisse un peu. Mais. J’ai une furieuse envie de baiser. Une black. Et c’est exactement ce que je suis en train de faire. Et comme je commence à me dire que ça va être plutôt cool de la prendre en levrette (vu son cul) ou en missionnaire parce que j’aime bien la tête qu’elle fait quand je la baise, je… jouis. Ensuite, j’ai décliné l’invitation de la demoiselle de récupérer un peu, allongé sur le lit. Le soleil et une clope m’attendaient dehors. Où je me suis quelque peu interrogé sur ce plan là. Pas 100 % naze parce que cette fille est plutôt bonne, d’une vraie gentillesse aussi. Pas 100 % à conseiller non plus parce que j’ai connu beaucoup mieux dans la rue pour beaucoup moins cher. Donc… Au cas où, Océane reste sur Epinal jusqu’à la fin de la semaine prochaine...

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