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Youppie webcam confinement        

Discussion : Votre première fois... avec une fille de joie

  1. #


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    mars 2022
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    Ma première fois avec une prostituée c'était à Marnix je devais avoir 24 ans.
    J'avais été attiré par une jolie jeune blonde svelte. Tout timide, j'ai été l'a voir et ça s'est bien passé. Elle m'a sucé et on a fait un 69 il n'y a pas eu de pénétrations car je voulais juste un 69. Malgré le stress, j'ai su apprécier ce moment et j'ai finit par éjaculer lors du 69.

    Je me rappel mon ami qui m'attendait à la sortie en rigolant car quand il m'avait aperçu ressortir, j'avais les lèvres toutes reluisantes et un grand sourire !

    J'ai pas toujours été fan des relations tarifiés et eu des moments de pause (car copine à certains moments) mais avec l'expérience, aujourd'hui, je commence à me rendre compte a quel point les relations humaines sont compliqués en couple en plus de la grande pression culturelle qu'on nous inflige à nous faire croire qu'il faut absolument une vie de couple pour être heureux.
    Je commence enfin à être heureux seul et je suis vraiment reconnaissant que des femmes fassent ce métier!

  2. #


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    octobre 2019
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    Citation Posté par Micheton2.0 Voir le message
    Je me demandais si c'est encore fréquent de nos jours la première fois avec une escorte. Y a t-il des sondages ? J'ai comme l'impression qu'il est plus facile de trouver une escorte maintenant que il y a 30 ans ou même encore il y a 15 ans.
    L'offre ne semble pas se raréfier, au contraire. Les possibilités sont énormes. C'est bien qu'il y a une demande plus forte? ou constante en tout cas?
    Par conséquent, ce n'est pas quelque chose de suranné ou de marginal comme semble l'affirmer certaines personnes.
    je pense que sur ce post on parle de la première fois avec une escorte et non ce faire dépuceler par une escort

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  1. #


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    août 2008
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    Par défaut Votre première fois... avec une fille de joie

    J'ai passé mon enfance dans une jolie petite ville de province de 20000 hab.
    Un après-midi, ma mère m'a emmené faire des courses dans le centre-ville, j'avais 7 ou 8 ans, pas plus. Alors qu'elle regardait une vitrine, j'ai remarqué juste à côté, un bar aux vitres opaques, avec un néon rouge clignotant. La porte était ouverte. J'ai fait 3 pas de côté et je me suis arrêté sur le seuil. Il y avait une dame plantureuse, avec des gros seins qui dégueulaient de son corsage, un joli visage très maquillé, qui dès qu'elle m'a vu, a dit quelque chose comme : "Non mais regardez la tête notre premier client de la journée !". Et elle m'a envoyé plein de baisers avec sa main tandis que je me faisais attrapé par le collet par ma mère.
    Celle-ci a été la plus douce et la plus aimante des mamans. Mais pour la première fois, elle était furieuse contre moi, hors d'elle. Elle m'a passé un savon dans la voiture en me parlant avec des mots que je connaissais pas, "filles de mauvaise vie, lieu de débauche, luxure". Mon père a, quant à lui, éclaté de rire le soir alors que je n'en menais toujours pas large.
    J'ai compris plus tard deux choses. La première, c'est que dans les années 70, les maisons closes n'étaient encore tout à fait closes et que dans toutes villes de province, il y avait ce type d'établissement. La deuxième, c'est que mon père en était un client régulier, compte tenu de sa profession très sensible.
    J'aurais aimé rassuré ma mère en lui disant que mon coeur était déjà pris, j'étais fou amoureux de mon institutrice de CE1, que j'avais fermement l'intention d'épouser quand je serai grand. Dommage, qu'elle ne m'ait jamais envoyé, elle, des milliers de baisers, à travers son bureau alors que je n'avais d'yeux que pour elle.


    20 ans plus tard, j'habitais depuis 2 ans, dans une autre ville, de 160000 hab, où j'avais commencé ma carrière d'ingénieur. J'étais marié depuis 3 ans et j'avais un petit garçon, âgé de 2 ans.
    Il y avait une rue dans cette ville, remplie de bar-clubs, où j'étais attiré comme un aimant sans oser y rentrer.
    Un de mes potes m'avait dit :
    - " Cette rue, on l'appelle la rue des Barras alors que ce n'est pas son nom. Tu sais pourquoi? Rue des Bars à... Putes. Bon, il y a quelques années, tu pouvais baiser sans problème. Après, c'était une pipe en cachette ou une branlette. Aujourd'hui, dans le meilleur des cas, c'est rouler une pelle pour le prix d'une bouteille de champ. Et encore, il y a des filles qui ne mettent même pas la langue! Ce n'est plus la rue des Barras mais la rue de l'Arnaque!"

    Il n'empêche, dès que je pouvais traverser le rue des Barras...
    En juillet 1994, ma femme est partie avec mon fils en vacances chez mes beaux-parents. A l'issue d'un déjeuner avec un client ,j'ai remonté la rue des Barras à 14H30. Tous les bars étaient fermés sauf un, "Le Milord". Incroyable, la porte était ouverte. Je me suis retrouvé sur le seuil comme 20 ans auparavant.

    J'ai d'abord vu la patronne qui passait l'aspi en m'ignorant puis mon regard s'est dirigé vers le bar où mon souffle s'est brutalement coupé.
    Elle était jeune, grande, brune avec des yeux très clairs, une tête d'ange, une taille mannequin, une magnifique poitrine sagement mise en valeur. On a tendance parfois avec le temps à embellir les choses mais sincèrement, c'était pour moi la plus jolie fille de la planète.
    Le genre "Jacklyne Smith" de "Drôles de Dames" en plus jeune et plus belle.
    Des cheveux bruns ondulés, retenus par un chignon avec quelques boucles qui retombaient sur ses yeux.

    Le trouble était visiblement réciproque. Je me suis décidé à prendre un coca.
    Elle s'est présentée, elle s'appelait Laura. Elle faisait des études de droit et elle travaillait en juillet pour pouvoir faire le tour des îles grecques en août avec sa meilleure copine. Au bout de quelques minutes, malgré la coupe que je venais de lui offrir (100 FF !), la patronne m'a demandé graveuleusement de mettre une bouteille de champagne pour que l'on puisse continuer à discuter tranquillement dans le salon au sous-sol.
    J'ai demandé à Laura naïvement ce que l'on faisait en-bas. Elle m'a répondu avec un sourire :
    - "Pas de relation sexuelle, aucun attouchement. On discute et si je me sens bien avec la personne, on peut fleurter un peu."
    1000 FF pour galocher une fille? (j'étais payé à l'époque 9000 FF mensuels)
    J'ai réglé les consommations et j'ai fait une bise à Laura avant de partir. Puis j'ai fait demi tour. Après tout, il faut savoir assouvir ses fantasmes et ce ne pouvait être qu'avec Laura.

    Après avoir bu la première gorgée, nous avons reposé les coupes et nous nous sommes embrassés. Quel baiser! Chaud, torride! J'aimais tout chez cette fille, son physique, son odeur, sa féminité, son grain de peau...je me sentais bien.
    Nous sommes restés comme cela, collés l'un à l'autre pendant de longues minutes.
    Elle s'est laissé peloter sans problème mais dès que j'essayais de passer ma main sous sa jupe, ses jambes se raidissaient et elle me la repoussait avec un sourire. "On ne peut pas" ne cessait-elle de me répéter.
    Au bout de la énième tentative, elle a fini par céder en m'intimant l'ordre de me relever immédiatement si nous entendions la patronne descendre.
    J'ai passé un doigt puis un deuxième. Sa culotte était trempée. Je l'ai alors enlevé, elle l'a immédiatement planqué dans son sac puis je suis descendu vers son sexe après avoir vérifier l'odeur de mes doigts. Rien de pire pour moi que d'avoir l'odeur gerbative d'un plateau de fruits de mers avarié, stocké depuis 6 mois dans une poubelle! Mais là, rien. Au contraire, elle sentait les fruits avec un zest de savon.
    Je me suis appliqué. Ses cuisses se sont détendues et son plaisir déferlait par vague en retenant ses cris dans sa main. Elle a fini par jouir en contractant ses jambes et en me tirant les cheveux. Je suis resté quelques minutes sans bouger. Chaque coup de langue était désormais une décharge électrique.
    Je suis remonté vers elle pour l'embrasser. J'étais sur elle. Elle a senti la bosse qui déformait mon pantalon. Elle a tout doucement dégraffé ma ceinture et fait glisser pantalon et caleçon sur mes chaussures.
    Je n'avais plus qu'un coup de rein à donner sauf qu'aucun d'entre nous n'avait de capote.
    Je me suis raidi. Je suis de la génération sacrifiée, celle de la fin des années 80 et des années 90 où on entendait tout et n'importe quoi. Un scientifique avait conseillé par exemple de mettre deux préservatifs, puisque le virus d'après ses études pouvait traverser le caoutchouc ! Un autre prédisait un désastre humanitaire si le moustique était un vecteur de transmission.
    Non, si je la pénétrais, j'allais passer avec ma conscience de très mauvais moments par la suite.
    Elle était d'accord avec moi, lovée dans mes bras. Elle m'a pris la tête dans ses mains et elle m'a dit :
    - "Tu me plais beaucoup, énormément. Je sais que tu es marié mais voilà ce que je te propose. Je finis à 22h. Tu viens me chercher à l'angle et on passe la nuit chez moi, dans mon studio. D'ici là, achète des capotes ! Sois discret. Si la patronne voit notre manège, je suis morte. Mais avant de partir, je vais te donner un avant goût de notre nuit."
    Elle s'est agenouillée et elle m'a prise en bouche. J'ai tout lâché en moins d'une minute. Mes spasmes étaient si violents qu'elle n'a pas pu tout avalé et elle en a recraché une grosse partie sur mon futal.
    Je suis reparti chez moi vers 17h, avec mon pantalon souillé mais avec la promesse de la revoir dans quelques heures.
    Pendant les cinq heures qui suivirent, ce fut un débat conflictuel avec mon ange blanc et mon ange noir.
    Mon ange blanc :
    - " Tu vas le regretter. Tu es marié !!! C'est une fille à emmerdes. Tu dis qu'elle est belle, intelligente, saine. Mais est-on saine quand on travaille comme entraîneuse dans un bar à champagne? Tu vas au devant de graves ennuis!"
    Mon ange noir :
    - "Tu passes la nuit. Tu t'éclates et basta...Putain, une fille pareille...tu vas le regretter tout ta vie comme un acte manqué.."
    Ma femme m'a appelé toute joyeuse de m'entendre vers 20h. Le son de sa voix, sa douceur, ma culpabilité... mon ange blanc l'a finalement emporté par KO au premier round.
    J'ai bien sûr regretté ma décision dès le lendemain où je partais rejoindre ma famille à la mer, sur leur lieu de vacances pour le week-end. J'ai pensé à Laura à chaque instant et je me suis montré irritable et désagréable pendant ces 3 jours.
    Dès le lundi, j'étais au "Milord" à 14h. Laura est arrivée quelques minutes plus tard et son visage s'est fermé dès qu'elle m'a vu.
    On a commencé à se chamailler discrètement au bar, à tel point, que j'ai mis une bouteille de champ pour pouvoir discuter tranquillement.
    Laura ne m'a jamais pardonné ma lâcheté et elle s'est montrée froide et distante. Elle a refusé tous mes baisers et encore moins que je la touche.
    J'ai capitulé au bout d'une heure. J'avais une note totale en 4 jours de 2200 FF, une fortune pour moi à cette époque.
    Après des vacances en août, j'ai arpenté tous les bars de la ville, dès le mois de septembre pour en devenir un habitué. J'étais à la recherche de Laura ou peut-être de revivre un tel moment aussi magique.
    C'était effectivement bien "la rue de l'Arnaque".
    Deux ans plus tard, j'étais muté sur Lille et je découvrais avec stupeur les bars belges de la flandre occidentale.

    Est-ce l'interdit posé par ma mère qui m'a toujours donné envie de le transgresser?
    Est-ce une première rencontre fabuleuse avec Laura?
    Ou est-ce inné dans les gènes ?

    Je suis devenu pendant de nombreuses un addict de ces bar-clubs belges...

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