Tomsen, Bundesallée 128, juste à côté de Friedrich Wilhelm Platz (quartier Friedenau, ex Berlin ouest, au sud-ouest de la ville, station U-Bahn Friedrich Wilhelm Platz). Le bordel est installé dans un vaste appartement en sous-sol semi-enterré comme beaucoup d’immeubles berlinois en comportaient jadis, entre les deux guerres mondiales. L’immeuble est situé dans un quartier résidentiel et même bourgeois, très tranquille.

Les tarifs sont indiqués sur le site internet de Tomsen et rappelés à l’intérieur de l’établissement : 50 € la demi-heure, 75 € les 45 mn par exemple. Là aussi, différents suppléments sont facturables séparément. Les horaires et jours d’ouverture figurent sur le site internet de l’établissement.

Une fois que vous avez sonné à la porte d’entrée, la taulière vient vous ouvrir et vous guide vers une pièce, celle où se dérouleront vos ébats et où elle vous laisse seul. Les filles viennent s’y présenter à vous rapidement, une à une, d’un sempiternel : « Hallo, ich bin x ». Ensuite, la taulière revient, pour vous demander quelle fille vous avez choisi. L’atmosphère est moins chaleureuse et sympathique qu’à Freudenhaus et le concept, celui d’un bordel classique, moins amusant.

Lors de ma visite unique, un jour de semaine en fin d’après-midi, cinq filles se sont proposées à moi, dans l’ensemble jeunes, davantage qu’à Freudenhaus Hase, et mignonnes. Mais les tarifs sont un tantinet plus élevé (50 euros la demi-heure au lieu de 45 euros, par exemple) et l'accueil moins chaleureux. J’ai choisi une jeune lettone très bien foutue, au visage agréable avec de jolis yeux bleus, encadré de cheveux châtain, et à la poitrine d’enfer. J’ai oublié son surnom, ce qui n’a, du reste, aucune importance, car elle m’a précisé n’être à Berlin que pour une semaine et s’apprêter à retourner en Lettonie. J’avais opté pour une demi-heure à 50 €.

Les conditions ont été respectées, même si la prestation fut très professionnelle et pas du tout GFE. La fille s’étant révélée une fellatrice hors pair, j’ai préféré me laisser aller dans sa bouche ou plutôt dans le préservatif, que de m’engager dans un rapport sexuel que je pressentais décevant.

Une maison honnête, où le client ne devrait pas être victime de mauvaises surprises. Mais je préfère largement Freudenhaus Hase.