Discussion : Paris : détrousseurs et violeurs d'escortes

[osanowo]

Figure toi que la plupart des nanas en tour pensent que la prostitution est interdite en France...
J'avais discuté avec une régulière en tour à Paris qui avait subi les mêmes mésaventures et je lui avais expliqué qu'elle pouvait tout à fait aller dans un commissariat porter plainte et dire qu'elle vend ses services. En l'occurrence elle n'a rien à craindre.

Je crois qu'au final elle y est allée mais en prétextant une histoire à la con genre rencontre ou un truc dans le genre... ce qui à mon avis est une belle erreur.

Enfin bref si à l'origine elles ne savent pas qu'elles ont le droit elles vont effectivement avoir du mal à prendre les mesures adéquates.

[Springboks]

La protection dont elles devraient bénéficier ( rémunération des agences) n'existe pas dans les faits car la police française les attend au tournant pour leur parler de proxénétisme.

Je pense que ces "agences" ont suffisamment de "relais" sur place pour assurer une protection des filles si cela devait s'avérer nécessaire.

Les agences n'en ressentent peut-être pas le besoin pour le moment. C'est une activité où il faut rester discret au regard de la loi française.

[Ezechiel]

Vu sur Le Figaro ce matin
ici : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/

lefigaro.fr avec RTL
02/09/2011 | Mise à jour : 07:17 |

La police judiciaire de Paris a arrêté mercredi matin trois jeunes hommes, dont un mineur, soupçonnés d'avoir attaqué et violé cinq femmes cet été dans la capitale, dont quatre exerçant la profession d'escort-girl, rapporte RTL.

Le mode opératoire était toujours le même. Un des trois hommes prenait rendez-vous via des sites spécialisés sur Internet avec une jeune femme. Une fois la relation consommée, il quittait l'appartement en laissant la porte discrètement entrouverte. Ses complices le rejoignaient alors pour dépouiller les jeunes femmes sous la menace d'une arme, les frapper, puis les violer pour certaines d'entre elles.

Ils ont été déférés hier soir au parquet en vue de leur mise en examen pour viol en réunion, séquestration, extorsion et vols avec violence. Selon RTL, les jeunes hommes affirment qu'il n'y a "rien de mal à vouloir récupérer leur argent". Ils nient également avoir violé leurs victimes. "Avec des prostituées, cela ne peut être que consenti", ont-ils expliqué aux enquêteurs.