"Une masseuse, Mme Le Thien Duc, embauchée le 1er mai 2010 – « une belle date » souligne le Conseil –, conteste son licenciement par sa patronne Mme Zhang Kun, responsable de la Sarl Bai-re. Elles s’expliquent dans un français brouillé par un fort accent chinois qui rend inaudibles leurs explications. La première assure qu’elle travaillait bien plus que les heures indiquées sur le contrat, que celui-ci était rédigé en français, qu’elle n’a pas pu en lire les termes exacts, maîtrisant mal la langue, et qu’elle a compris qu’elle était licenciée alors qu’elle avait signé sa démission. La seconde rétorque que son ex-salariée invente cette histoire de contrat à plein temps en vue d’obtenir ses papiers."
Source: Chroniques des Prud'hommes n°32 www.sinemensuel.com