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Discussion : Edouard Pichon

  1. #


    couille Guest

    Par défaut

    Ah ok. Merci theoden. Je lirai ce bouquin

    comme quoi Onfray bien de se tenir au courant

  2. #


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    novembre 2010
    Messages
    222

    Par défaut re-vlan .....

    Amtha , la psychanalyse est une pseudo science qui combine le charlatanisme à des pratiques mal maitrisées de psychologie clinique . il est désormais notoire que Freud était un escroc manipulateur et cocaïnomane assoiffé de gloire et de vénalité . Apprendre aux desperates houses wifes viennoises- qui s'emmerdaient ferme en attendant que leurs seigneurs et maitres , gras et autoritaires , rentrent at home- leur faire croire que si la moule les démangeait parce que elles avaient compris que leur papa baisait maman et que cette salope aimait ça , c'était sa plus belle arnaque .Et pour les urgences , il leur en collait un coup gratos dans l'étambot , l'appellait ça le transfert .

    Pour les détails , voir l'excellent bouquin de Michel Onfray , et ne pas oublier que c'est moi personnellement je qui ai fait foutre en cabane l'un de ces charlatans qui officiait en proche banlieue Est ,et qui insistait beaucoup sur le transfert ....Ca c'est fait

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  1. #


    couille Guest

    Par défaut Edouard Pichon

    Je n'avais jamais entendu parler de ce bonhomme (né en 1890 à Sarcelles et mort en 1940) . C'était un psychanalyste. Le texte que je vous propose est intéressant car il nous donne sa conception du féminisme qui n'est pas piquée des vers. Mais on en prend aussi pour notre grade


    Le rôle du sexe dans la civilisation occidentale

    À l’aise dans la civilisation (1937). — Seconde Conférence

    « En ce qui concerne les hommes, on n’a pas de peine à faire admettre pour ratés sexuels ceux qui, ne sont pas arrivés à la pleine virilité du chef de famille, telle que je l’ai décrite.
    Personne ne nie que les impuissants, que les hommes portés vers les amours intrasexuelles ne soient des malades, et qu’il n’y ait intérêt à les ramener au type amoureux normal.
    Le psychanalyste, avec quelques bons arguments, arrive même facilement à faire admettre aux gens que les coureurs de cotillon, même engloriolés sous le nom prestigieux de donjuans, ne sont pas arrivés à la puissance amoureuse totale : ces héros de la génitalité sont des infirmes de la sexualité, à qui l’imparfaite liquidation de leur complexe d’Œdipe interdit la fixation amoureuse à une femme d’un rang équivalent ou supérieur à celui de leur mère.
    Ces vérités ne rencontrent pas de résistance tenace, car aucune des révoltes morbides du mâle humain contre l’ordre sexuel de la civilisation occidentale n’a jamais pris de caractère social.
    Il en va tout autrement en ce qui concerne les femmes, car deux types aberrants au moins, l’un récent, la féministe, l’autre très ancien, la coquette, font résolument tête contre l’ordre sexuel normal.
    La féministe est‑elle une névrosée ? Je n’hésite pas à dire que oui. Déjà, du point de vue de la critique interne de cette tendance psychologique, son incompatibilité avec l’ordre normal apparaît ; en effet ce que veut le féminisme, très mal nommé, ce n’est pas une exaltation des caractères proprement féminins de la femme, c’est au contraire un effacement de ces caractères, une unification du rôle social des deux sexes : il serait beaucoup mieux dénommé hominisme ; ce terme, imaginé par M. Damourette, se réfère en effet à homo, nom de l’espèce humaine entière, donc nom où l’homme et la femme sont confondus.
    Le féminisme est donc une dédifférenciation, une régression.
    Ce point de vue toutefois ne sera pas accepté de nos adversaires, car ils croiront y voir une pétition de principes, puisque, posant comme but social la différenciation maximale des sexes, nous ne condamnons le féminisme qu’en ce que précisément il nous conteste ce but.
    Mais sur le terrain de la critique externe, les faits sont là pour nous donner raison. Voyons en effet où se situent socialement les féministes : en général parmi les femmes qui versent dans tous les mouvements de révolte sociale : elles sont bolchevistes, végétariennes, nudistes ; elles s’affilient à des sectes religieuses bizarres, telles que le “mazdaznan”, la “christian‑science”, etc. Et on aurait tort de voir dans ce non‑conformisme la manifestation d’une originalité personnelle que je serais le premier, dans mon horreur de la standardisation, à encourager ; car ce qu’il faut à ces femmes, ce n’est pas la liberté de penser personnellement, ce sont des sectes organisées pour la révolte. Enfin et surtout, elles ont des stigmates pathologiques : nous autres psychanalystes, nous savons que ce sont des infirmes de la génitalité : intrasexuelles avouées ou latentes, frigides, etc. Les deux études que j’ai publiées sur le cas de Nina illustreront ces affirmations.
    Il y a plus : la psychanalyse a démasqué les coquettes, ces femmes ratées qui avaient réussi, à travers les littératures et malgré le dégoût moral qu’elles inspiraient à beaucoup, à se faire passer pour le fin du fin en matière de femmes.
    De la grâce, de la beauté, attributs que notre civilisation reconnaît comme armes propres aux femmes, les coquettes usent pour des buts masculins. Sur l’homme, elles cherchent des triomphes, une domination : tous désirs masculins. Cette attitude masculine ratée, il y a longtemps que, malgré le prestige apparent de ce genre de femmes, le peuple français la comprend subconsciemment, puisque c’est à un mâle, — et à un mâle d’une espèce particulièrement inintelligente — le coq — qu’il s’est référé métaphoriquement pour donner un nom à la coquette » (Édouard Pichon, À l’aise dans la civilisation).

    http://www.psychanalyse-paris.com/-Edouard-Pichon-.html

    Question subsidiaire.
    Qu'est-ce que la régression ?

    En psychologie expérimentale, le terme de régression désigne le processus par lequel, dans certaines circonstances (situations conflictuelles ou anxiogènes, hypnose), le comportement qui est habituel dans une situation donnée fait place à un comportement qui est caractéristique d'un stade de développement antérieur ou correspondant à un répertoire d'activités acquises dans le passé de l'individu, mais remplacées progressivement par des activités plus adaptées.

    http://www.universalis.fr/encycloped...-psychanalyse/




    Si ça n'intéresse personne, on passe à autre chose

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