Discussion : Paris: Mlle CHABANAIS (française, brune - se déplace seulement)

[coucou3]

Alice Chabanais

[un_reveur]

Pourquoi devrais-je écrire une EV sur Melle Alice ? En effet, j'ai l'impression d'avoir déjà vécu identique aventure; me suffirait alors de recopier mon(mes) EV sur Julie alias "Fleur du Mâle" en changeant juste l'âge et la couleur de cheveux.

Je crois que vous voulez parler de Fleur du mal et non de Fleur du Mâle

Je vais tout de même vous lâcher quelques infos spécifiquement sur miss Alice :

- Même si vous pourrez lire ici et là qu'elle préfère les rendez-vous d'au moins 2 heures, si (et seulement si) vous parvenez à la séduire à l'écrit (puisque comme avec Julie, les 1ers échanges se passent exclusivement par mail), elle pourrait accorder aux "petits" (sic !) budgets l'occasion de la rencontrer pour seulement une heure .

Mais c'est Mlle Alice ou Mlle Chabanais?
Ce qui me gêne ce ne sont pas les 2H, encore que, pour un début, je préfèrerai 1h, mais surtout les autres conditions. Visiblement, elle ne s'adresse qu'à une certaine catégorie de personnes, aussi ai je préféré ne pas continuer après le premier échange (et donc ne pas essayer de la séduire . Je n'y serai d'ailleurs pas parvenu, très probablement.
Pourtant j'avais envie de discuter de littérature, mais je respecte son choix. Comme elle m'a dit ne venir que très rarement sur le site et pour consulter ses messages, elle n'en saura rien, c'est sans doute mieux ainsi.

[lionelfranck]

Récemment inscrite sur Youppie, et Mademoiselle m'ayant fait l'insigne honneur de m'autoriser à y publier cette modeste contribution, je fais part ci-dessous de cette inoubliable et sublime expérience (déjà relatée sur Escortfr). Toutefois, je lui demande encore une fois pardon, pour révéler une si belle aventure, qui doit être vécue au moins une fois dans la vie, et dont mes pauvres mots ne peuvent que bien faiblement faire ressentir la bouleversante émotion qui m'a consumé jusqu'au plus profond de mon être.

Merveilleuse Alice…

Il y a longtemps déjà, que j’avais connu l’existence de Mademoiselle Chabanais sur escortfr.net, de brillants éloges de contributeurs finement lettrés, de délicieux et émouvants commentaires sur son fil ou d’elle-même, ainsi que sur d’autres sujets, m’avaient irrésistiblement donné envie de la connaître en personne.

Charmé par son profil et ce qui se dégageait de toute cette affolante littérature, je pris toutefois beaucoup de temps avant de me lancer, impressionné par l’aura de cette Dame, qui me semblait une inaccessible Déesse. Je me sentais fort peu digne de solliciter ses faveurs, tel un manant à l’orée de la demeure d’une Princesse.

Je pris mon courage à deux mains et lui envoyais un message, ayant mis tout mon cœur et ma passion à tenter de lui rendre hommage. A mon grand bonheur, Mademoiselle Chabanais me répondit. S’en suivit une correspondance enflammée, dans laquelle je mis toute ma fougue et la tendresse que m’inspirait cette Dame, osant maladroitement, mais avec délicatesse, confesser quelques phantasmes, implorant son pardon pour mon audace et mon inconvenance, et la priant humblement de m’accorder une entrevue.

Après son accord qui me transporta de joie et d’une fébrile impatience, vint le temps du rendez-vous. Je me souviendrai toujours de ce jour d’hiver béni des dieux, où je pus enfin la rencontrer. En attendant sa venue, je pris une boisson chaude au comptoir d’un petit café, donnant la vue sur l’accès du métro tout proche, histoire de me réchauffer un peu. Mademoiselle arriva un peu en avance, je vis une silhouette correspondant à sa description sortir du métro, s’arrêter près du café et allumer une cigarette.

Je faillis me brûler et en renverser la moitié par terre et sur moi, en tentant de finir mon café encore chaud. Je me précipitais dehors, puis marquais un temps d’arrêt, à quelques mètres devant cette irréelle apparition. Un visage adorable, d’une troublante, intimidante et émouvante beauté, encadré de longs cheveux bruns et du col relevé de son manteau mi-long, un béret incliné qui enrobait en partie sa tête, son manteau laissait entrevoir de longues jambes merveilleusement fuselées et de petits pieds chaussés d’escarpins aux talons vertigineux.

Cette vision enchanteresse me fit découvrir Mademoiselle Chabanais, somptueuse Dame au charme fou, comme on peut en voir au sortir d’une prestigieuse maison de la rue Montaigne, telle l’Égérie d’un grand couturier. D’une allure jeune, moderne et d’une classe exceptionnelle, elle me fit toutefois penser à ces Femmes fatales, capiteuses brunes et fascinantes héroïnes, évocation des plus hautes heures du cinéma hollywoodien. Son port altier, son élégance et sa manière très gracieuse de tenir et fumer sa cigarette, me clouaient sur place, dans une fascination absolue.

Mademoiselle Chabanais me reconnu tout de suite et m’adressa un grand sourire. Je m’approchais d’elle et nous fîmes enfin connaissance. Son adorable frimousse, ses si jolis yeux et son regard si profond, intimidant mais si émouvant, son merveilleux sourire et son irrésistible style, me firent aussi penser aux Parisiennes, de Kiraz. Certains vieux croutons comme moi, se souviendront peut-être de ces dessins qui firent la joie de nos lectures de Jours de France et d’autres publications glamour. Plus tendre hommage que véritables caricatures, l’œuvre de ce talentueux artiste fut une ode à la féminité.

Nous allâmes dans une pâtisserie (pittoresque détail, charmant établissement affublé d’un nom fort peu accordé à l’objet de notre rendez-vous), nous permettant de déguster sur place quelque délicieuse spécialité. Nous devisâmes longtemps, apprenant à nous connaître. Je lui ouvris mon cœur et ma vie, elle me parla d’elle, nous nous découvrîmes quelques intérêts et expériences communes, j’étais partagé entre la crainte de la décevoir et le désir de tenter de lui plaire, ne serait-ce qu’un tout petit peu, sollicitant son indulgence. Mademoiselle me permit de l’appeler de son délicieux prénom et me fit l’honneur de me permettre de la tutoyer. Elle me rassura, m’expliquant avoir été touchée par mes messages et être enchantée de me connaître. Je fus frappé par son humanité, sa douceur et sa tendre attention, mais aussi par son érudition et sa culture. Alice me conseilla sur beaucoup de choses, et j’avoue être un peu confus d’avoir abusé de sa gentillesse, je n’étais tout de même pas en consultation avec une psychologue, quoique son discours réchauffa tellement mon âme !

Nous partîmes ensuite dans cet hôtel ou j’avais réservé une chambre. La montée dans l’ascenseur fut pleine d’émotion, j’étais fou de désir pour cette adorable Demoiselle, elle m’accorda un premier baiser qui me fit presque défaillir. Une fois dans la chambre, j’entrepris de me déshabiller, et lui demandais si elle n’était pas trop déçue. Alice me rassura en riant. Elle enleva petit à petit ses vêtements, et me demanda d’enlever sa jupe, me tournant le dos et se penchant vers le lit. Je fus fasciné par un tel spectacle, mais bien tremblant et maladroit, Alice du m’aider à dégrafer la fermeture.

Je pu enfin l’admirer, la contempler. Ne gardant sur elle que ses bas noirs, sa petite culotte et un délicieux haut de dentelle très fine, qui laissait entrevoir ses sublimes petits seins, ces merveilleux atours étaient sur elle, comme les écrins de fabuleux joyaux. Après quelques caresses et irrésistibles agaceries, je dus prendre le chemin de la douche, mais ce fut un vrai calvaire, que de m’éloigner de ce si précieux petit ange.

Avant même de revenir dans la chambre, Alice m’avait aidé à m’essuyer. Délicate attention, qui en rajoutait dans l’érotisme et l’émotion. De retour de la salle de bain, je pus enfin continuer à découvrir ses merveilles. Tout d’abord par de timides et délicats effleurements, puis de douces caresses, sur son visage et tout son corps, ses jolies mains, source d’infinie volupté, ses bras, ses jambes, ses affolantes petites fesses, je découvris son infinie douceur. Alice m’expliqua aimer la douceur et la délicatesse, m’aida, m’apprit et m’encouragea à la toucher, la caresser et l’embrasser. Ses baisers, sa langue et ses lèvres sont un sublime mélange de douceur, de tendresse, de passion, de vice, de romantisme et d’une bouleversante volupté. Alice n’embrasse pas, elle fait littéralement l’Amour avec sa bouche, inspirant une émotion qui touche au divin.

Avec Alice, tout est merveille. Son corps, sa manière de bouger, avec grâce, élégance et sensualité, mais aussi ses extraordinaires caresses, qui amènent à un niveau de désir et de sensibilité que je ne croyais pas qu’il soit possible d’exister. Sa voix n’est pas en reste, sa douceur, ses paroles, ses intonations, qu’elles soient rieuses, charmantes, coquines ou plus lascives, sont une volupté qui résonnent comme une symphonie, pour les oreilles et pour le cœur. Le temps, aussi. Bien qu’il passa trop vite, chaque seconde en sa compagnie est un véritable enchantement.

Alice me fit ensuite découvrir ses seins, les sortants délicatement de leur enveloppe de dentelle. Je pu enfin les admirer, les caresser, les glisser entre mes lèvres, titiller leurs adorables tétons sensibles et les douces aréoles de ma langue, puis les masser délicatement et enfin les téter avec tendresse et passion. Nous continuâmes un long moment de caresses et de tendres câlins, pendant lesquels elle retira ses dentelles, j’étais de plus en plus ému de toutes ces attentions qui me troublaient au plus haut point.

Je fus profondément ému par ses merveilles, notamment lors de nos précédentes caresses, où j’avais eu le bonheur d’effleurer, puis de caresser tout doucement son petit minou. Je fus affolé et frappé d’une si forte émotion, quand je sentis mes doigts se mouiller de plus en plus abondamment de sa douce liqueur. Vint ensuite le moment de goûter à sa sublime intimité. Ce fut un bonheur immense, que de butiner sa délicate et magnifique petite rose, qui me fit ainsi connaître son plaisir. Je m’efforçais de m’appliquer de mon mieux, guidé des mains et des mots par Alice. Au bout d’un certain temps, je fus bouleversé et transporté d’une encore plus vive émotion, lorsque je compris, par ses réactions et sa douce voix, ma bouche inondée de son divin nectar, qu’elle m’avait fait don de sa volupté.

Alice vint ensuite sur moi, lui ayant dit que j’affectionnais particulièrement cette posture, qui me laissait les mains libres pour la caresser et lui faire contrôler à sa guise, afin de lui permettre le maximum de plaisir. S’en suivit une magnifique chevauchée, bien d’autres caresses, baisers et troublantes merveilles. Je fus totalement sous le charme, profondément touché et en extase devant Alice, qui me possédait totalement et me faisait ainsi partager un bonheur indescriptible, surtout quand nos yeux s’accrochaient dans un regard si intense et si chargé d’émotion.

Après une nouvelle délectation de son sublime petit minou, puis d’autres irrésistibles assauts de tendresse et de passion, où j’avais l’impression de ne plus savoir où jouer de mes mains et de ma bouche, nous fîmes une petite pause cigarette, devisant de choses et d’autres, surtout orientées sur les joies de l’Amour.

Reprenant le cours de notre délicieuse odyssée, je lui demandais timidement, si elle pouvait m’accorder l’assouvissement d’un phantasme. Elle me demanda de quoi il s’agissait, peut-être inquiète de ce qu’un drôle de bonhomme comme moi pourrait bien lui demander. Je lui expliquais que j’avais une irrésistible envie que l’on se blottisse l’un contre l’autre, au milieu du lit sous la couette, comme dans un petit nid douillet. Son visage s’éclaira d’un magnifique sourire, elle me répondit avec bonne humeur et enthousiasme que si mon phantasme c’était ça, il n’y avait vraiment pas de problème ! Nous nous blottîmes l’un contre l’autre, nous dévorant la bouche de baisers passionnés, nous caressant dans une étreinte fusionnelle, exacerbée par tout ce que nous avions vécu avant. Je n’en pouvais plus, j’eus encore une poussée de timidité, ayant presque honte de profiter d’une telle déesse. Je lui demandais si elle me permettait de jouir là, comme ça, maintenant. Alice écarta la couette, je fus saisi par le fabuleux spectacle de son corps, son ventre et ses seins tout près de moi. Alice me dit qu’elle voulait me voir jouir tout contre elle. Elle me masturba avec délice, tout en me pressant sur son ventre, après m’avoir bien lubrifié de sa salive. Alice me fit éjaculer sur elle, un merveilleux orgasme me fit vibrer du plus profond de mon être, de longs jets de sperme chaud couvrant son petit ventre si doux. Nous fîmes encore un gros câlin, afin de redescendre sur terre, puis nous prîmes une douche avant de nous préparer à sortir de l’hôtel.

Je raccompagnais Alice une partie du chemin, lui ayant indiqué une autre station de métro, qu’elle trouvait plus pratique. À un carrefour, nous nous quittâmes d’un doux bisou sur les lèvres, nous promettant de nous revoir prochainement. J’étais sur un nuage, fabuleusement heureux d’avoir vécu une telle aventure. Je traversais le passage piéton, je ne voulais pas me retourner, de peur de gêner Alice. Il faut être raisonnable, le rendez-vous est terminé, je ne voulais pas être importun. Sur l’autre trottoir, je ne pus me retenir. Je me retournais, contemplant une dernière fois Alice, délicate petite silhouette qui disparaissait dans la nuit. Je restais un moment sur place, bercé par les souvenirs de cette rencontre, espérant avoir été un tout petit peu à la hauteur d’une si noble Dame, arrivant à peine à me persuader que cela n’avait pas été un rêve. J’ose vivement espérer un prochain rendez-vous…