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Discussion : GABRIELA ex VIVIANA (brésilienne - métisse brune)

  1. #


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    juin 2009
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    Par défaut Visite du Mercredi 20.11.

    Gabriella.br: 2h ... j'avais oublié comment elle est incroyable au lit, sensuelle, douce ... fabuleuse ... je l'ai léché longtemps, mais vraiment longtemps, multi-orgasmique ... elle voulait m'épouser à la fin. Elle m'a rendu le plaisir par une fellation d'anthologie d'une douceur incroyable. Partie de jambes en l'air extraordinaire, GFE, tendre et douce, wow !!! On est resté enlacés pendant de longues minutes puis j'ai eu droit ensuite à une autre sucette magique avant de partir.

  2. #


    cepo48 Guest

    Gabriela

    Plus toute jeune, mais un service top, pas de temps mort avec la miss,... faut suivre la distance,... 2h récidive oh yess

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  1. #


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    janvier 2008
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    Loin de Brüggen hélas...
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    GABRIELA ex VIVIANA (brésilienne - métisse brune)

    Ouragan sur le bungalow 14.

    Je confesse qu'à rebours de tous les fantasmes des amateurs de latinas, je n'avais jusqu'ici eu que de mauvaises expériences avec les Brésiliennes, si j'excepte mes deux rencontres avec l'incomparable Heidi, LA mégastar du mundo gateril de Buenos Aires, carioca de naissance mais émigrée en Argentine depuis sa plus tendre enfance.

    Or donc, il était 10 h moins 10 mardi 18, nous sommes entrés avec la susnommée dans le bungalow 14, et j'ai su enfin ce qu'était une vraie femme brésilienne. Vivienne (orthographe non garantie du tout) s'est littéralement jetée sur moi ; elle m'a roulé une pelle comme je n'en ai jamais reçu de ma vie ; et nos lèvres ne se sont pas désunies une seule fois en 25 minutes...

    Petit flash-back....

    Vivienne est une jeune Brésilienne d'environ 24/25 ans, à la peau couleur cannelle ou café, d'environ 1 m 60 pour sans doute 45 kilos environ. Je pense que ses yeux sont dorés. Peu de poitrine et pas très jolie (allaitement maternel sans doute, elle a un fils de 4 ans), et n'attendez pas non plus la croupe brésilienne typique et voluptueuse. Elle était vêtue ce jour-là d'un bikini blanc et elle se balade pratiquement tout le temps avec une copine dominicaine, de Puerto Plata, très gentille mais assez quelconque (blanche mais avec des tresses rastas, pas très jolie de visage et plutôt grasse), avec laquelle elle communique en espagnol (Vivienne parle aussi couramment l'allemand, pour autant que je puisse en juger).

    Première vibration vers 15 H 30 dans le kino où je suis venue trouver Casey pour ma première session de la journée. Elle est couchée en face de nous, face à l'écran, et je comprends qu'avec sa copine elle parle de moi. Or, il ne me déplaît pas d'être aussi parfois chassé. Je pars en chambre avec Casey non sans laisser traîner mon regard en arrière...

    Ce n'est que vers 21 H 40 que je vais la retrouver, devant le kino toujours. Je viens de décliner la proposition de Nelly de Minsk de partir en chambre lorsque je vois arriver Vivienne, seule. Elle me frôle ; je crois que c'est elle qui m'aborde, en allemand ; je lui réponds en espagnol (à cette heure, je pense encore qu'elle est dominicaine), elle me dit qu'elle est Brésilienne, de Recife. Encore 10 secondes et je lui demande d'aller chercher une clé ; sa copine arrive ; elle lui dit que le taxi va arriver à 10 H. Vivienne m'explique donc qu'elle ne peut pas partir en chambre avec moi, et me propose de nous revoir le samedi, si ma mémoire est bonne. Je lui dis que je ne peux pas ; alors sa copine - qu'elle en soit ici infiniment remerciée et grâce à Dieu que je parle espagnol - lui suggère de partir avec moi ; le taxi attendra. Les yeux de biche de Nelly dardent la foudre....

    Et dès lors, ce fut magique de bout en bout. Court (une demie-heure, alors qu'en temps normale une fille pareille je l'eûsse gardée deux heures ; je lui ai même proposée de la conduire moi-même à Düsseldorf), mais d'une intensité inconnue. Je ne peux même pas décrire ce qui s'est passé dans ce bungalow, ce n'était plus du sexe tarifé, c'était un phénomène météologique, l'étreinte absolue de deux êtres au seuil de leur mort, le feu sacré, le nirvana.

    Foudroyance d'un orgasme simultané, retour douloureux sur terre et vers les vestiaires. Ses yeux brillants se sont ternis, l'heure du départ est arrivé. Ses deux copines (Morena, une Brésilienne de Bahia, sans doute pas loin de la quarantaine) nous attendaient, nous avons parlé tous les 4 comme si nous nous étions toujours connus. Puis elle s'en est allée et c'était vraiment muito muito triste.

    Cinq jours déjà et je ne m'en suis pas encore remis. La reverrai-je jamais?


    Quoiqu'il en soit, une expérience inoubliable, à recommander sans modération.

    Prenez soin d'elle, elle le mérite.

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