Discussion : LUISA d'Amour Russe.net (russe - rousse)

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si maintenant les filles se mettent en rogne pour la moindre goutte de sperme qui ne finit pas dans la capote, ça devient grave quand même.
Faut qu'elles changent de métier, le COB est qui même pas exceptionnel, sauf à rendre la douche obligatoire entre 2 punters

[MUST4NG]

Héhé merci Je n'ai pas pu m'empêcher de croiser un peu avec le débat actuel

A un moment, je commençais à me demander si tu aimais tjs les gros seins ! Et puis j'ai lu ça :

https://youppie.net/showthread.php?6...968#post998968

Ouf !! On est sauvé !

Ben j'ai deux amours les teens et les big naturals, j'ai d'ailleurs enchaîné ses deux RDV sans transition, les 2 appart' étant à proximité. Pas de mauvais sang Zool, j'aimerai les gros seins jusqu'à l'âge de rené
Mais c'est vrai qu'il y a encore peu je n'aurais jamais pensé payer pour un bonnet A

[MUST4NG]

Intro
Alors que certains rendaient hommage ce jour-là aux héros de la Grande guerre, un élan de patriotisme me gagna, avec comme l’envie pressante de célébrer l’alliance franco-russe à ma manière.
Plus de plan en vue, pas de pièce de monnaie dans ma poche pour un pile ou face, je laisse à l’opérateur « 309 » le soin de trancher en me disant qui de Deni ou Luisa est disponible immédiatement.
C’est Luisa, dans 20 minutes.

Physique
Comme d'autres ses photos étaient peu avantageuses, sauf qu’elle n’est pas aussi photogénique que sa comparse Michele. L’orientation de la lumière ne l’aide pas puisqu’elle crée des zones d’ombres façon « face cachée de la lune » qui lui durcissent les traits du visage. A la vérité, j'ai trouvé Luisa très belle. C’est aussi visage « vivant », qui enchaîne une bonne demi-douzaine d’expressions faciales à la minute.

Là où elle mériterait les honneurs de la nation c’est pour son cul, à un damner un Poilu. Elle est cambrée, il est minuscule, charnu, doux, frais. Juste parfait à mon goût. A chaque fois que je passais devant je me permettais un pelotage en règle ce qui la faisait ricaner comme une bossue.
Les seins, ça sera rapide, y’en a pas . Ah si, des tétons très longs, épais et durs. Curieux, je les ai titillés, et puis.. et puis.. j’y ai pris goût. Comme quoi.

Social-time
Bon ben elle ne parle pas du tout anglais. Elle dit venir de Saint-Pétersbourg alors que sa meilleure amie est de Kiev. C’est beau la modernité, des amitiés par-delà les frontières. Je lui fais remarquer, elle était gênée. Libre à chacun de croire à cette fable, en fait on s’en fout, non ?

Sexe
A peine me suis-je retourné qu’elle je la trouve plantée sous mon nez, sa langue dans ma bouche. De délicieux French kisses qui méritent une nouvelle médaille, ils sont lents et bien pervers.
Au fur et à mesure de ce petit jeu le meeting s’empare d’un brin de folie. Je me mets à la peloter et la lécher dans tous les sens, elle fait de même. Doigtage sans concession avec en prime un jeu de grattage en haut du vagin. Je suis déjà surexcité, mais elle continuait à me pousser dans mes retranchements.
69, elle s’arrêtait régulièrement, comme pour mieux apprécié mon travail. Mais je pense que c'était aussi une opportunité car la pipe ne semble pas être son truc, sa technique se résume à gober le gland et bien branler.

Pénétration sans gel, elle opte pour le reverse cow-girl, qui s’avère être un must absolu. Pour le coup elle entre tout droit dans mon Panthéon. Buste immobile, elle parvient à détacher complétement son arrière-train du reste de son corps, le déhanchant pour une partie de booty shake endiablé sur ma bite. Hallucinant. Sa cambrure est maximale. Elle arque les épaules vers l’arrière. Elle est très souple, je la contorsionne et lui fait prendre tout un tas de postures « sex ». J’aurais presque dû rester que dans cette position. Mais elle est aussi entreprenante et décide des changements de positions.
Levrette à fond les balloches, qui vire en missionnaire pour repartir sur le flan. C’est là, au terme d’une guerre des tranchées sans concession que je me répands sur le côté de sa fesse.
Que n’avais-je pas fait. J’ai eu droit à une récitation du dictionnaire russe. Son agacement n’était pas amusément pas crédible, je l’ai pris à la légère. Et puis c’était sur sa fiche. Après le meeting j’ai dit ironiquement à « 309 » de lui expliquer le COB, il m’a répondu qu’il l’avait déjà fait, lol imaginez le truc.

Alors que je me rhabille : « You a very interesting ». C’est sorti de nulle part, ça tranche par rapport à sa non maitrise de l’anglais : je donne en 1000 que c’est la phrase préparée qu’elle adresse consciencieusement à tous ses clients

Conclusion
Alors que l’Amour est hissé en paradigme sacré de toute relation à deux, condition péremptoire du mariage comme de la sexualité, j’aime d’autant plus ces rendez-vous qu’ils en deviennent anachroniques.
Cinq minutes auparavant je ne connaissais pas Luisa, j’avais dû échanger un maximum de deux phrases avec elle. Une enveloppe, quelques sourires et regards, et nous voilà sans autre convention au centre d’échanges aussi primaires qu’universels, et qui plus est pour des ébats intenses et sauvages. Un naturel, une facilité, une spontanéité qui je le reconnais en sont presque troublants et qui me font demander ce qui peut bien la pousser à se donner ainsi.
Luisa est en fait l’antithèse de la prostituée aliénée et dépressive que l’on dépeint partout en ce moment. Foncièrement joyeuse, elle est d’un tempérament dynamique et enthousiaste. L’insouciance et la naïveté du Bon Sauvage débarquées à Paris parmi la grisaille et des grimaces et qui a soufflé un petit vent d’air frais et salvateur sur mon monde.
On me rétorquera qu'elle s'en fiche et que c’est pour mieux me prendre mon pognon, oui, mais reconnaissons-lui qu’elle ne saurait mieux s’y prendre autrement.


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