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Discussion : AMBRA (italienne ?, longs cheveux noirs - n° 210, bar La fontaine, en journée)

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    Citation Posté par siffert Voir le message
    Ambra ne bénéficie de la "fraîcheur de la débutante" que parce que les mauvaises habitudes ne sont pas encore prises, pour le reste on s'aperçoit assez vite que ça manque clairement de "compétences" et que, finalement, toutes les tares habituelles y sont (passivité, manque d'initiatives, service minimum, aucune surprise)
    aie aie aie; Siffert tu es dur, je t'avais prévenu d'y aller mollo avec cette gamine, comment veux tu qu'elle se fasse la main?
    bon mais elle aurait dû commencer comme stagiaire chez guergana par exemple...mais bon certains vont lui enseigner ce qu'il faut faire on attend d'autres échos même si notre opinion est déjà faite...
    au moins on peut dire qu'elle est assez jolie et pas iceberg


  2. #


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    août 2010
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    AMBRA (italienne ?, longs cheveux noirs - n° 210, bar La fontaine, en journée)

    Il se trouve que je lui ai rendu visite également, et tout à fait par hasard, sur un choix coup de tête donc je vais quand même donner mon sentiment collègue, qui rejoint fortement le tien. Je suis d'accord avec TOUS les points positifs et négatifs sus mentionnés.

    Le service est classique, correct, acceptable mais les manquements sont aussi innombrables que les lacunes incalculables. et les vraies bonnes choses assez peu nombreuses. J'ai plutôt apprécié mais il manque tout ce que je recherche.

    Ambra est une fille assez fine et si il n'est pas acquis qu'elle soit italienne, sa manière de s'habiller et ses traits de visage ont, de mon vécu significatif de l'autre côté des Alpes, une consonance très italienne. Pour une fois, il n'est pas impossible qu'elle le soit vraiment, italienne. Le social time est limité et dans l'attitude et le comportement elle est beaucoup moins transalpine, elle n'est pas du tout désagréable, assez réservée, très honnête.

    L'absence de formes et son côté menue n'empêchent pas une féminité très joliment enfagotée, ce petit haut noir lui va comme un gant et ses petits yeux sont une terminaison d'un ensemble attractif et soigneux, une classe que l'on ne retrouve pas toujours et des éléments qui mis bout à bout donnent une fille avec qui on irait plus au resto qu'au bordel. Les traits sont fins, les sourcils proportionnels à ses petites lèvres mignonnes donnant un équilibre entre le naturel et le sophistiqué, un charme de seconde lame d'une fille qui ne tape pas à l'oeil mais d'une profondeur physique bien plus affirmée qu'une bimbo sans autre agrément qu'un flash qui s'estompe aussi rapidement qu'il est venu. Le maquillage ne lui est pas nécessaire pour faire ressortir ce côté charmant qui se glisse dans les interstices de chacun de ses détails physiques.

    Dévêtue, ce type de poitrine montre qu'il n'est pas nécessaire d'avoir une taille certaine pour que le résultat soit concluant, s'étendant sur la largeur et sortant peu de sa cage thoracique, deux tétons parfaitement agencés à sa morphologie sont le prolongement raffiné d'un tronc à l'image de son visage dont chaque élément constitutif construit un hexagone caractérisant une féminité dans laquelle on voudrait se perdre et s'engouffrer, et si possible dans les méandres délicieux d'une douceur féminine affriolante.

    La mise en exergue du désir et la conjonction des sens sont une chose que la prière de Noël ne suffit pas à apporter en ces lieux. En moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire, la voilà nue d'un seul coup, déshabillée façon préparation pour mettre un maillot de bain, sans transition aucune on est devant le fait accompli même si tout reste à faire et que l'emballage méritait un déshabillage moins direct. Satané processus stéréotypé écarisseur de volupté et de sensualité. La psychologie masculine est un paramètre systématiquement ignoré par les oursonnes, droites dans leurs bottes, qui font leur travail en totale abstraction des spécificités de chacun et faisant fi des principes de base du processus d'éveil du désir et de l'excitation sexuelle.

    Rêvons un peu: Encore habillée, elle vint se blottir contre moi, une main sur l'épaule, mon souffle sur sa nuque, je lui retire délicatement sa bretelle droite faisant découvrir le haut de son poitrail et voyant se dessiner progressivement la courbe de sa poitrine je la caresse tendrement, elle caressant mon dos ses ongles le long de ma colonne vertébrale pour finir vers mon caleçon qu'elle appréhendera de l'extérieur, du tissu puis de l'intérieur, mes mains allant du haut de son épaule jusqu'aux hanches, elle se collant là tout contre moi prenant ma main la dirigeant vers la prochaine étape à dégrafer, m'invitant à dégrafer un par un les cordons de son corset noir, pour petit à petit, centimètre par centimètre, se découvrir mutuellement et s'enlacer, se donner à l'autre, mes doigts entre sa peau et son habit comme pour deviner les extraits de son corps, ressentant non par la vue mais par d'autres sens, olfactif, le toucher, la teneur de son ensemble corporel, tout doucement dévoiler sa féminité, celle vue habillée et que je ne peux me résoudre à voir placardée comme cela et aussi vite nue. Suggérer, jouer, érotiser, capter, séduire, enivrer... C'est le préalable et pied à l'étrier de préliminaires. Fermons les yeux et décontextualisons puis rêvons, refusons cette fatalité de l'anti sexualité et de l'anti érotisme. Une science fiction que l'on aimerait voir palpable de temps en temps.

    Or, les yeux étaient bien ouverts, la réalité bien prenante, et bien qu’atténuée par une vue suggestive, c'est subissant ce gâchis du droit au but qu'il a fallu se mettre à l'horizontale ayant effectué le même processus de déshabillage castrateur de mon coté pour commencer une session qui ne contiendra aucune surprise et se révélera en tous points basique.

    Il y a ces artistes qui sentent le jeu, savent quoi faire, quand et comment avant tout le monde, innovent et orientent le jeu, utilisant un talent rare à bon escient. Ambra ne fait pas partie de cette catégorie.

    Il y a ces joueurs à potentiel qui osent, tentent, provoquent, se trompent parfois mais prennent le risque de la passe en profondeur pour conclure une belle action. Ambra ne fait pas partie de cette catégorie.

    Il y a ceux qui se mettent au service du collectif et qui n'ont pas le potentiel pour faire la différence à eux seuls, mais ne veulent pas se contenter de leurs limites et vont vouloir se dépasser pour combler des lacunes techniques, Ambra ne fait pas partie de cette catégorie.

    Il y a ceux qui ont de l'or dans les pieds mais sont irréguliers, peuvent rater une passe à cinq mètres comme envoyer la balle en lucarne à 30 mètres, irritants, ceux-là se content toujours de peu et n'exploitent pas un potentiel que leur mental les empêchent d'exprimer. Ambra ne fait pas partie de cette catégorie là.

    Il y a les joueurs médiocres, qui sont là on ne sait comment, se donnent les moyens mais rien à faire, le manque de talent et de compétences est toujours le plus fort et prodiguent toujours de mauvaises prestations malgré une évidente bonne volonté. Ambra ne fait pas partie de cette catégorie.

    Il y a le joueur qui sait se sublimer malgré ses limites et va tout donner pour arriver au meilleur résultat possible et se découvrira des talents inconnus parce qu'il a tenté, on a envie de lui faire confiance et de lui redonner sa chance, on est pas sûr du résultat mais la conviction y est. Ambra ne fait pas partie de cette catégorie là.

    Il y a le joueur lambda, honnête et réglo, qui ne possède pas beaucoup d'aptitudes ni de talent particulier et dont on sent qu'il ne peut pas beaucoup plus mais fait le boulot sans rechigner ni mauvais esprit, est le relayeur, essaie de redonner une passe propre au joueur le mieux placé sans pouvoir crééer la brèche décisive faute de savoir le faire, il est là présent mais ne se démarque ni par ses performances, ni par son incapacité ou quelconque mauvaise volonté, c'est l'ouvrier de l'ombre il en faut dans un collectif mais on peut s'en passer car il ne surprend jamais ni ne déçoit fondamentalement. Sans génie, il s'attache à faire normalement, ni plus, ni moins, ce pourquoi il est payé. On dit de lui qu'il n'est ni bon ni mauvais mais qu'il sert le collectif tout en devant donner plus. Ambra fait partie de cette catégorie là.

    Il y a des milliers de choses possibles à faire en terme de préliminaires et certaines ne demandent vraiment pas l'imagination et la créativité d'un écrivain érotique et pourtant, comme d'habitude rue d'aerschot, ces derniers seront inexistants et bâclés. Branlouiller un membre avec de microscopiques caresses ne méritent pas le terme de préliminaires, ce luxe si rare quand il est prodigué n'est de toute façon pas souvent fourni, recherché et bien huilé. C'est mieux que rien, moins pire que la pose du caoutchouc sur sexe mou, mais avec ambra les préliminaires c'est le désert de Gobi ou presque.

    Emprisonné dans son habit transparent, popol aura droit à une fellation quelconque, agrémentée d'aucun artifice, aucun jeu de langue ou de regard, aucune variation, la partie allant du pubis au gland occupée par la main de la miss, là où aurait dû se trouver ses parois buccales, pas de savoir faire en la matière c'est vite clair, pas plus que pour les préliminaires.

    Le rapport requiert de beaucoup d'ingrédients pour en faire un de qualité, et là encore le désert de Gobi des préliminaires est suivi du désert du Sahara sur l'aspect qualitatif du rapport. Certes, au moins il est tout à fait possible de tirer son coup tranquillement ça suffira à certains qui se contente de peu mais les éléments fondateurs qui font d'un rapport réussi et attrayant sont quasiment tous absents, parce qu'un rapport se fait à deux et que celui-ci se montre vite unilatéral, trop de passivité et une participation hyper parcimonieuse et anecdotique. Ce qu'il manque c'est l'interaction, le jeu, l'échange, l'entrain, la spontanéité... un regard complice, des caresses simultanées, des gestes équivoques encourageant et montrant l'immersion de la fille dans l'acte, des mouvements coordonnés. Je sais pas, par exemple mettre la main sur les fesses et inciter au va et vient, enlacer, serrer le bras, caresser simultanément, griffer, bref participer, se donner, se "fondre" avec l'autre, donner le change.

    Malheureusement, Ambra, que ce soit en levrette ou missionnaire, est passive, comme la plupart des filles de la rue, comme Tmoses le dit à juste titre, c'est tout à fait vrai et on se sent vite seul comme un con à besogner en solo... il faudra vite se résoudre à trouver le bon cadencement tout seul comme un grand pour la sentir "vivre", car l'investissement de sa part dans le rapport est faiblard et cet attentisme typique de la rue d'A empêche de prendre véritablement son pied. En outre, rien de GFE ou de PSE.

    En cowgirl, elle bouge davantage, plus, comme pour compenser son inactivité des deux autres positions. Mais de manière complètement aléatoire et désordonnée, sans fil conducteur, un peu n'importe comment de sorte qu'il est difficile de trouver le chemin du plaisir dans cette partition psychédélique. A la limite j'aurais préféré qu'elle fasse comme la plupart des autres, un banal up and down de métronome mécanique. Là c'était juste n'importe quoi. Je croyais voir un enfant sur un trampoline.

    Techniquement, c'est plus que limité et les initiatives, comme pratiquement toujours avec les filles rue d'A, sont inexistantes.

    Je lui mettrais une icône neutre, on ne peut pas dire que ce soit mauvais mais encore moins que ce soit bon. C'est une presta classique pam-pam splotch sans rien autour à se mettre sous la dent, ça contente certains qui avalisent une bonne prestation mais on ne peut pas statuer une prestation bonne quand la fille se contente du fuck en ne faisant rien d'autre que ça, il ne passe rien d'autre qu'un fuck de base avec aucun agrément, plus value ni à côté.

    Une bonne bûche de Noël, il y a de multiples couches, de la crème, des petits bonbons dessus, des lutins, de la chantilly, des morceaux de chocolat... Ici Ambra c'est le coeur de bûche à la vanille, on a l'essentiel mais il manque toutes les autres couches, le chocolat, le caramel, pas de friandise ni de petit lutin ni de chocolat ni de crème, il manque toutes les saveurs pour vraiment se régaler et donner un goût de qualité à la viennoiserie. On n'en reprend pas forcément une seconde part.

    L'icône a une connotation festive en total décalage avec la teneur de service de Ambra. Le sied par exemple parfaitement à Donny du 210: pimpante, imprévisible, joueuse, contenu intéressant, dense, varié; fille offensive, ludique, douée, entreprenante, active, beaucoup de choses se passent en session. Là on est loin de tout ça avec l'italienne, qui même si elle a quelques qualités, il lui manque tout cela.

    Ambra ne bénéficie de la "fraîcheur de la débutante" que parce que les mauvaises habitudes ne sont pas encore prises, pour le reste on s'aperçoit assez vite que ça manque clairement de "compétences" et que, finalement, toutes les tares habituelles y sont (passivité, manque d'initiatives, service minimum, aucune surprise)

    Je trouve qu'elle ne prend pas la peine de soigner sa prestation (tout en faisant les choses normalement dans les normes, elle remplit le contrat moral), ni de la personnaliser, ne lui donne pas de vie ni suffisamment d'épaisseur et ne la remplit d'aucune créativité ni de quelconque élément notoire digne d'intérêt, rien ne sort de l'ordinaire dans ce qu'elle fait, se contentant du basique sans se donner ni donner l'impression de vouloir satisfaire son visiteur. Elle remplit le cahier des charges sans jamais s'en départir pour aller au delà et c'est bien là le problème selon moi. N'agit pas, réagit uniquement et encore si on lui demande.

    Perfectible? Même si il y a des éléments positifs il faudrait encore qu'il y ait les bases, les germes pour faire fleurir quelque chose avec le temps mais comme je le disais l'absence évident de savoir faire et de potentiel charnel feront que je ne crois aucunement à une telle évolution positive donc je n'y retournerai pas.

    Malgré tout, elle n'est pas froide ni mécanique c'est déjà ça et accepte les changements de poses ou demandes d'ajustement et n'équipe pas popol directement sans le durcir un peu. Sa mentalité est irréprochable. On ne passe pas un mauvais moment loin de là mais rien d'autre à signaler et c'est tout de même peu. Pas suffisant pour moi en tout cas. Il y a nettement pire qu'elle, mais bien mieux également.

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  1. #


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    novembre 2010
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    AMBRA (italienne ?, longs cheveux noirs - n° 210, bar La fontaine, en journée)

    Bon j'ai voulu sortir de mes habitudes aujourd'hui et gouter autre chose. finalement je tombe sur cette fille qui se dit italienne mais j'ai un doute passons. entre 20 23 ans.
    elle est souriante.et élancée très fine. seins pas très gros mais je les aime ainsi. se laisse toucher.
    pipe disons normale (il faut dire que j'ai connu mieux) pas DP en tout. la session est plus proche de la GFE que de la PSE.

    les points positifs en tout cas pour moi
    n'enfile pas directement le préservatif elle essaie de durcir popol avant.
    elle accède à mes demandes avec le sourire...on a changé je ne sais combien de fois de position
    j'ai ri pendant le cowgirl car elle s'est un peu oubliée et elle est partie en vrille ses coups de reins et de bassin me faisait même un peu mal.
    sa chatte est bien serrée hi hi faux pas être éjaculateur précoce
    fraicheur de debutante

    les points négatifs.
    en dehors du cowgirl elle est gentiment passive comme la plupart des filles de la rue. il faut bien la labourer pour la sentir vivre du coup par moment surtout au début du labeur on peut se sentir seul au monde ( ne dis rien Siffert....ne descends pas cette petite jeune elle apprend le métier)
    n’enlève pas ses chaussures elle a peut être froid aux pieds. mais enlève bien le haut et moi j'aime ses petits lolos pas si petits que ça

    en somme ça va. et c'est du côté des 30 €même si je lui ai donné 50. Donc fille perfectible. Bon échange verbaux en anglais en français juste pour les prix.

    mais bon sang Guergana il faut que tu reviennes.
    au cas où je me serais trompé de bar c'est celui précède le bar avec moet et chandon (je crois eropolis) les deux ont des grandes baies vitrées




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