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Discussion : DENISA (roumaine, brune - n° 64, shift de nuit)

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    genmg Guest

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    Bonjour Mustang,

    comme indiqué: 1.100 euros pour 5h de chevauchée non-stop. Grosse entaille dans la prime de mission. mais ça valait la peine.

  2. #


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    octobre 2013
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    Citation Posté par genmg Voir le message
    Plumer ? Embrasser ? Ce n'est pas le sujet, je suis resté cinq heures (au lieu des 20-30 minutes habituelles) pas parce que je pouvais lui faire ceci ou cela, ou parce qu'elle a joué la montre, mais parce qu'on a pris notre pied pendant tout ce temps. Ce qui ne m'était jamais arrivé de cette façon (et à elle non plus, vue sa stupéfaction et son enthousiasme croissant).

    J'ai déjà été avec des escorts trois étoiles, j'ai payé autant pour une expérience bien plus convenue.
    J'ai déjà eu des rencontres beaucoup plus fortes émotionnellement, mais c'est ma première expérience d'un espèce d'équilibre permanent entre étreinte et jouissance, des heures durant, dans la bonne humeur. Bon, c'est vrai que je venais de toucher une grosse prime de déplacement, que j'ai bien entamée.

    Si tu connais d'autres filles capables de cette performance, je suis preneur.

    J'ai à peine aperçu sa voisine, et elles n'étaient pas en poste quand je suis entré et sorti, donc il faudra demander son prénom (au fait, c'est quel n° ?).
    et quelle a été l'addition en roros ????

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    genmg Guest

    DENISA (roumaine, brune - n° 64, shift de nuit)

    Nationalité / langues parlées : Roumain, très bon anglais et italien
    Age : 20 ans
    Visage : jolie
    Cheveux : noire, long
    Taille : 165 environ
    Poitrine : naturelle, petite, A
    Silhouette / corps : menue, lolita, ferme
    Tatouages - Piercings : non
    Embrasse (oui- non) : partout sauf sur la bouche et le sexe - peur des microbes. Cunnilingus suivant son humeur
    Hygiène : très bonne
    Autres caractéristiques : social time excellent, bien dans sa tête, très joyeuse

    SHIFT DE NUIT. Caresses, fellation couverte et plein de positions, presque infatigable (sans brusquerie).

    Denisa reçoit à gauche du snack "Chez Zaza", je n'ai pas retenu le n°.

    Denisa est là depuis deux mois "to make money" dit-elle en riant. Elle est surtout rieuse et bien dans sa tête. Ce pourrait être Mirabella qui aurait changé de pseudo, ou son sosie. Le social time est de si bon augure que je lui propose une heure entière.

    1er round. Pipe (avec), pas de FK, juste une jolie fille qui baise franchement avec plaisir, sans la brusquerie d’une PSE ni les gestes feints d’une GFE: une Sex Friend Experience (SFE, copyright moi).
    Elle chevauche avec enthousiasme, vite, lentement, à nouveau vite, dressée au-dessus de moi ou serrée sur mon buste tandis que je la pénètre. Quand l’heure sonne, nous venons de finir, elle reste dans mes bras, le souffle un peu court, mais pas plus fatiguée que ça.
    C’est trop bon, je pourrais recommencer de suite. Et elle ? Elle éclate de rire, et accepte. La maison dispose d’un lecteur CB, ce qui est à la fois confortable et redoutable (10% de service en plus, donc 220 euros de l’heure). Denisa redémarre le minutier d’un tour de poignet, puis mon sexe (couvert) de quelques coups de langue.

    2ème round. Toujours en amazone, elle s’adosse à mes genoux, mes mains caressent tout son corps, son visage, je la masturbe en même temps que je la pénètre, elle gémit, frissonne, se contracte, et monte et descend encore et encore. Quand nous nous arrêtons cette fois son cœur cogne, comme le mien. Elle se love dans mes bras, le minutier sonne, déjà.
    Je ne comprends pas ce qui se passe, mais la fatigue a disparu, et une agréable sensation à l’entrejambe m’annonce que je pourrais encore assurer. « Again ? » Elle éclate de rire : « If you want » rien de moins contrariant qu’une prostituée au travail, surtout Denisa.
    Je l’envois chercher la machine et pour gagner du temps je lui dicte mon code. Je ne fais jamais ça, mais chez elle il y a une espèce de sincérité évidente dans tout ce qu’elle fait. Elle rit encore et me demande si elle peut garder la carte après.

    3ème round. Pour souffler un peu elle me raconte l’Italie et moi les levers de soleil sur les monts du Pamir. Cela lui donne l’idée de se glisser contre moi, ajustant son sexe au mien, elle joue à éviter mes baisers tandis que nos corps s’assemblent, je me dresse au-dessus d’elle pour un missionnaire ardemment attendu. Mais mon épaule fracassée par le travail se rappelle à mon souvenir, je retombe à ses côtés en m’excusant. Mes lèvres se referment sur ses tétons, très sensibles, descendent sur son ventre et son bas-ventre, je tente un coup de langue, elle crie presque, et j’entame un cunnilingus aussi simple qu’apprécié. Elle se positionne, gémit, sursaute parfois tandis que je l’explore, m’enivrant de son goût sucré, la palpant aussi tandis qu’elle halète doucement, abandonnée. C’est bon, c’est très bon et je crois qu’elle a joui avant que l’heure ne sonne.
    Nous nous redressons, un peu euphoriques, elle revient dans mes bras. J’essaie de me persuader: « I have to go » « Yes » « I cannot spend more money » « Yes » « Or I could stay if you want ? » « Oh yes, I want !». Retour de la machine, elle se rappelle deux chiffres sur quatre, je lui dicte les deux autres. Elle rigole : « I will buy a Porsche with your card ! »

    4e round. Elle est si légère que nous commençons à baiser debout : je peux la soulever de mon bras valide, dévorer son buste de mes lèvres tandis que mon autre main parcourt chaque courbe. Elle se colle à moi, me rend mes caresses, bascule sur le lit. Je la rejoins, elle reprend du début, petite pipe, elle m’enfourche, monte et descend. Nous nous regardons dans les yeux, étonnés de nous-même, elle prend son plaisir avec le mien, dans une étreinte joyeuse. Comme la première fois, nous passons par des phases frénétiques et d’autres presque en suspens, et à nouveau une accélération, nous explorant l’un l’autre, nous encourageant en douceur, prolongeant indéfiniment la montée du plaisir.
    Je viens une troisième fois, mais je me retiens sans effort et j’enchaîne aussitôt, encore et encore.
    Nous avons à peine conclu une quatrième fois quand l’heure sonne à nouveau. Elle se plaint de sa coiffure, elle est échevelée et toute en sueur, comme moi. Elle arrange ses cheveux, les bras dressés au-dessus du buste. Je sens que ça revient . Cette fois elle sort elle-même la carte du portefeuille, tape le montant et le code, range tout et me rejoint. Nos corps frémissent encore de plaisir, mais la fatigue est là.
    Nous discutons vitrines, FKK, Partytreff et trottoirs de Paris. Comme elle ne veut pas prendre de risque avec des « pipes sans » ni diversifier ses prestations, elle préfère ici. Elle veut de l’argent mais n’en est pas prisonnière.

    5e round. Elle vient chercher mon sexe et ondule dessus, tandis qu’elle m’embrasse les mains. Je la tourne doucement vers moi, c’est drôle de la voir pincer les lèvres pour ne pas embrasser, tout en offrant tout le reste du corps et du visage aux caresses et aux baisers, qu’elle rend avec art. Elle s’éloigne et se rapproche, se colle à moi, je la prends allongée sur le côté, soulevant son bassin de mes bras pour amplifier le va-et-vient. Je jouis assez vite, et sans doute elle aussi.
    Elle rit encore, « It was very, very good for me. » « For me too. It’s not often like that, you are exceptional. »
    Je me decide: « I have to go » « Yes, go, we will meet again, you will come back». Encore une qualité, un mot d’elle et j’aurais sans doute continué à dépenser, alors que ma prime de mission est bien entamée.

    Je ne me rappelle pas du trajet jusqu’à Paris. Dans la nuit, un sms : « That was so good. If you hadn’t leave, I would have had one hour more. Hihi. » J’aime son rire, même en sms.
    Encore aujourd’hui, je ressens des frissons, et une profonde interrogation : cinq fois en cinq heures ? J’ai cru trouver l’explication sur les facturettes, mais non : elle n’a pas carotté un centime, ni une minute. Cinq fois 220 euros, la première heure a duré soixante minutes, la deuxième…trente minutes , la troisième, la quatrième et la cinquième, une heure dix .
    We will come back, comme disait Mac. Mais dans quelques mois, le temps de renflouer le portefeuille.

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