Quand Mme O. a souhaité commencer une activité de prostitution au sein du salon, elle s’est annoncée à la brigade des mœurs par pli recommandé. Elle a aussi fixé un rendez-vous avec cette brigade par l’entremise de sa patronne, Lisa Ceszkowski. Or un contrôle est survenu avant la date du rendez-vous. «Le malentendu est parti de là, explique Lisa Ceszkowski. Ce n’est pas à moi de payer les pots cassés, en plus la brigade ne donne aucun justificatif qui prouve que mes employées sont bien allées chez eux.»


Source la tribune de Genève.