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Discussion : DIANA (bulgare, blonde - n° 116 à droite, shift de nuit)

  1. #


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    décembre 2015
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    Salut les punters,

    Quelqu'un a déjà revu la miss ou a des nouvelles?

  2. #


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    décembre 2015
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    Je pense que Diana n officie plus dans la rue. Ah moins que je n'ai pas eu de chance 😢😢

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  1. #


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    juin 2008
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    DIANA (bulgare, blonde - n° 116 à droite, shift de nuit)

    J'étais tombé par hasard en début d'après-midi sur un vieil ami d'enfance qui avait insisté pour que nous allions pleurer le bon vieux temps à une bonne table.
    Ne faisant pas exception à la règle nous n'avions pas tardé à glisser dans ce gouffre sans fond, sujet péremptoire à toute conversation masculine: Les femmes et la sexualité.
    Il me raconte avoir essayé récemment la fameuse pilule aux propriétés bandantes, suite à quoi il avait extirpé de sa poche une plaquette pour me faire cadeau d'un comprimé afin que je lui en dise des nouvelles..

    La patience ne figurant pas parmi mes attributs principaux, je décollais le soir venu en direction de cette putain de rue d'Aerschot pour y faire flanelle.
    D'ordinaire, je parviens aisément à refouler ma sensibilité au désarroi qui m'environne, seulement cette fois le spectacle désolant de tous ces visages anesthésiés qui étaient exposés dans leur cage de verre sur place m'envahissait péniblement de remords.

    En effet, les rombières de garde, cachées derrière le zinc de leur bar semblaient d'une arme fantôme mettre en joue ces jeunes prostituées d'élevage qui étaient terrorisées et qui sursautaient à la moindre interpellation de leur geôlière.

    De ce "métier", elles semblaient en avoir perdu toute émotion mettant en veilleuse la flamme de l'espoir de vivre, n'exprimant plus aucune passion, la tendresse semblait leur être aussi étrangère que la répulsion, et la joie aussi impénétrable que le désespoir.
    "L'humain, trop humain" que j'étais à cet instant n'en savait que trop pour pouvoir apprécier tout cet étalage de luxure à son premier degré.

    Peut-être alors, le petit bonbon bleu qui avait causé mon déplacement allait-il résoudre ce problème pour me faire voir la vie en rose, du moins provisoirement.

    Pendant que je laissais agir, une étincelle de liberté dans le regard et l'allure d'une des gourgandines parmi les nombreuses présentes n'avait pas échappé à mon attention. Du reste elle semblait comme beaucoup d'autres s'être accommodée depuis longtemps déjà de son triste sort.

    Elle était une petite friandise enrobée d'une tenue rose Barbie. D'ailleurs, si elle n'était aussi jeune, on aurait facilement pu soupçonner l'industrie de la célèbre poupée de s'en être inspiré car mis à part la taille tout y était, des longs cheveux d'or dégoulinant avec élégance sur sa croupe finement rebondie jusqu'aux clinquants accessoires vestimentaires en passant par le délicieux sourire fruité qui soulignait les traits de son joli minois de cire. D'où le surnom de Barbitch

    Le produit que j'avais absorbé commençait à faire effet car je sentais mon visage rougir et chauffer. Mon cœur lui cognait dans ma poitrine et ceci était à la fois dû à l'excitation que suscitait la présence saturée de sensualité de ce fruit défendu mais aussi à cause de l'anxiété qui m'habitait car à ce stade, ce n'était plus moi qui était attiré vers cette beauté du diable mais plutôt elle qui m'avait fait captif et qui m'attirait irrésistiblement à elle dans un tourbillon maléfique que je suivais comme si ma vie en dépendait.

    Lorsqu'elle m'ouvrit la porte, je fus accueilli par un nuage d'odeur qui s'était détaché de la pièce, j'en aspirais une bouffée que je goutais, c'était une odeur de péché.
    De sa voix douce et sensuelle de petite fille, Diana s'était présentée et m'ouvrait le passage vers son vestibule, pas celui-là encore, l'autre !

    Une fois déshabillée je la découvrais sous la lumière bleutée des néons accrochés aux murs du réduit, c'était une femme à la peau satinée et dorée à point. Ses seins étaient hélas faits de silicone, petite ombre au tableau très vite effacée après passage au scanner de ses belles fesses parfaitement ajustées à son corps et d'une symétrie si parfaite qu'on les croirait tracées au compas, autant dire deux dunes de sable chaud dans la majesté d'un désert...

    J'en eus presque le vertige ou alors peut-être était-ce dû au fait que j'étais sous une érection artificielle si consistante qu'elle me pompait tout le sang du corps pour l'affluer vers mon organe érectile ?
    Toujours est-il qu'au premier contact de ses lèvres glissant d'une ineffable délicatesse le long de ma hampe, je ressentis comme un frisson me parcourir le corps. C'était comme si à l'intérieur de moi on avait plongé une épée ardente dans de l'eau glacée.
    Sa bouche avait continué à m'infliger ce dur traitement pendant quelques minutes encore sur un rythme crescendo avant que la maléfique ne se décide à s'offrir toute entière dans une levrette magistrale. Elle était là, me tendant son croupion d'une manière telle que tout ce qu'il y avait autour avait perdu de sa substance, plus rien d'autre n'avait d'existence réelle, la vie entière se réduisait à ça et elle tenait à ce que cela se perçoive.

    Je tentais quant à moi de me remémorer quelque chose de comparable en beauté : un couché de soleil, un soir de clair de lune au bord d'une plage, un rêve de vol d'oiseau au dessus d'une chaine de montagne... mais je ne pus que récuser toute comparaison; j'eus pour la première fois la prétention de comprendre quelque chose que je considérais à tort être complètement débile : je veux parler de l'émoi d'une femme amoureuse qui se voit offrir une bague sertie d'un diamant précieux depuis son écrin par son tendre amant, cette émotion là j'étais en train de la vivre !

    Sur le moment, je reculais par respect et stupéfaction, mais en même temps, je sentais déjà que ce mouvement de recul était plutôt une manière de prendre mon élan. Nul homme au monde n'aurait pu lutter contre ce désir.
    Rassasié de l'avoir trop dévoré des yeux, quelque part dans mon cerveau on m'avait ordonné l'assaut. Sans réfléchir, j'empoignais alors la partie la plus haute de ses fesses charnues et me mis en "rut" pour l'aventure.
    Après une petite dizaine de minutes, j'étais à la torture, j'avais beau lutter, je ne pouvais tenir plus longtemps. J'avais lâchement craché ma joie au moment où cette diablesse de Diana s'était retournée en me souriant pour me foudroyer d'un langoureux regard de braise.

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