Discussion : VANESSA (bulgare, brune – Vingerlingstraat n° 03/1) Jour

[Aurélio]

Jamais revue dans le quartier lors de mes quelques passages ultérieurs. Je pense qu'on peut déplacer le fil aux archives.

ndm : Merci ! Le fil reste ouvert et si quelqu'un voit la fille, il peut mettre ses nouvelles ici.

[Aurélio]

Pas masse de filles dans mes goûts en ce plaisant dimanche. Les repérées (ou plus) de mes dernières visites sont aux abonnées absentes. Cependant il est une nouvelle, au n° 3 de la Vingerlingstraat, petite brunette poids plume, dont je ne suis pas lent à faire ma partenaire du prochain quart d’heure, tant son physique est exactement ce que je recherche. Nue, elle m’évoque même la gracile Cherry Potter au buste plat (la fille de mon avatar), ce qui peut vous donner une idée de mon émoi .

Cependant, il y aura un « mais », et même plusieurs, d’un certain calibre. D’abord, la piaule, sans aucun attrait, a quelque chose de pas net, si pas de carrément
rebutant . Impression d’un manque général d’hygiène, dessus de lit souillé, confirmée en fin de session par l’absence de papier pour s’essuyer ou même emballer le produit de ma luxure, lequel atterrira donc – floc ! - sur le fond d’une poubelle sans sac plastique pour recueillir la peau de saucisse au réservoir rempli de sperme. Top-chic pour le suivant .

Ensuite, la demoiselle, lovée en chien de fusil sur le lit, manque un peu d’initiative au début. Elle se laisse caresser le torse, je me contente d’effleurer son sexe muni d’un soupçon de toison sombre, réticent à m’enfoncer davantage dans ce gouffre qui ne m’inspire pas à 100 % confiance, je ne sais pourquoi (enfin, si, je sais pourquoi : voir paragraphe précédent). Par contre, pour me proposer des suppléments, là, Vanessa sait s’extraire de sa passivité. Veux-je pipe nature ? Non merci, je décline poliment. Veux-je rester quarante minutes pour 100 €, avec good massage etc. etc. ? Pas davantage. Et voilà maintenant son portable qui sonne . Elle a la politesse, quand même, de se dire en main et de raccrocher. Sa collègue, me dit-elle. D’où, nouvelle idée : veux-je trio ? Non, merci, Vanessa. Est-il utile de préciser que tout cela commence à me saouler un peu ? Heureusement, à force de la dévorer des yeux et un peu des mains, et tandis qu’une des siennes a tout de même la bonne idée de s’enquérir des progrès plutôt laborieux de mon désir, celui-ci commence à s’affirmer suffisamment pour que je me sente bientôt en état de lui demander un condom. Car oui, ça aussi, je dois le faire. Autrement, je vois déjà le scénario : dix minutes à continuer sa branlette et moi, mes effleurements de premier communiant à la surface de sa peau, ensuite de quoi : sorry, it’s time…if you want to stay more, you have to pay more….

Va-t-elle me sucer, maintenant que je suis couvert ? Même pas. Elle ouvre les jambes. Bon. Allons-y, moussaillon ! C’est agréable mais je n’ai pas envie de faire durer, ce qui n’est d’ailleurs pas souvent dans mes cordes. J’y vais donc franchement, paf-paf, jusqu’à une prompte délivrance.

Pas franchement antipathique, mais la conversation de Vanessa se limite, si je résume, et en exagérant à peine, à proposer d’emblée des suppléments, ce qui est généralement très mauvais signe. J’ai connu pire, mais il y a quand même très peu de chances que cette Vanessa-là intègre jamais mon petit Panthéon féminin personnel, malgré son physique pour amateurs de teens. Dommage …