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Discussion : Avec ma moto je rejoins la belle Hélène ...

  1. #


    Inscription
    octobre 2011
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    15

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    oui très joli !
    une virée moto et une belle rencontre, c'est que du bonheur !
    amitiée motarde V

  2. #


    Inscription
    décembre 2009
    Messages
    809

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    Très jolie récit digne d'un écrivain, bravo

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  1. #


    Inscription
    février 2013
    Localisation
    paris
    Messages
    2

    Par défaut Avec ma moto je rejoins la belle Hélène ...

    Ce soir là, il faisait chaud. Je traversai Paris sur ma moto. Le vent me caressait les bras. Il entrait par le col largement ouvert de ma chemisette et circulait, comme une douche tiède contre ma poitrine, sur mes côtés et dans mon dos. Dans les reins, je sentais les douces vibrations du moteur. Ces sensations agréables, voluptueuses même, provoquèrent en moi une réaction automatique : une vigoureuse érection. Le but de mon voyage y était aussi sans doute pour quelque chose. Hélène m’avait invité chez elle pour que je lui fasse l’amour. Elle habitait l’Est de Paris, et moi l’Ouest. Un quart d’heure de chevauchée pour une nuit de volupté.

    J avais connu Hélène sur une messagerie internet. Nous étions connectés ensemble, Hélène avait mis sa photo, fort avenante. Je cherchai, sans projet précis, une Parisienne de mon age pour discuter et peut-être plus, si affinités, comme on dit dans ce genre d’annonces. Après quelques échanges sympathiques, mais un peu anodins, je sentis chez elle une soif de la vie tout à fait positive. Elle n’avait pas ma photo, car je n’aime pas la mettre sur ces messageries internet. J ai trop peur que des voisins, des parent ou des collègues la trouvent. Je lui proposai de lui envoyer pas e mail , ce qu’elle accepta. Sans doute ne trouva-t-elle pas mon visage repoussant, car le dialogue continua de plus belle. La conversation, amicale et courtoise devint de plus en plus coquine. J’entrepris de lui décrire par le menu ce que je lui ferais si nous étions seuls ensemble. Cela lui plut beaucoup. Je lui parlai aussi de mon fantasme de l’homme et de la femme qui ne se connaissent pas et se rencontrent pour le première fois, nus. Nous échangeâmes vite nos numéros de téléphone pour poursuivre oralement cette intéressante conversation. L’écoute de sa voix qui me sembla extrêmement sensuelle ajouta à mon excitation. De son côté aussi, l’excitation grandissait. Nous décidâmes enfin de nous rencontrer pour donner réalité à nos fantasmes communs. Nous convinmes d’un jour, un jour de semaine en fin d’après midi, et d’un lieu, un hôtel dans le quartier où Hélène travaillait.

    Inutile de dire que les jours précédant notre rencontre j’étais fort impatient, et fort excité. Il en était de même, je le pense, pour elle. Le jour dit, je vais à l’hôtel et monte dans la chambre qu’on nous a donnée. Comme il était convenu entre nous, quand elle arrive près de l’hôtel, Hélène m’appelle avec un téléphone portable, et je lui donne le numéro de la chambre pour qu’elle puisse monter directement. Mon émotion était grande pendant ces instants où je l’attendais. Enfin, on frappe à la porte. La voilà.

    Elle ressemble à sa photo. Les yeux bleus et pétillants, un doux sourire. Un peu gênés, nous nous asseyons côte à côte sur le lit. Je ne me souviens plus ce que nous nous sommes dits. De toutes manières, l’heure n’était plus à la parole, mais à l’action. Je passe mon bras autour de ses épaules, et approche son visage du mien. Elle répond à mon attente, et nous nous embrassons. D’abord sur la joue, puis sur la bouche. Le désir monte. J’ai envie de toucher sa peau. Je passe ma main dans son corsage, et lui caresse le dos. Je luis dégrafe son soutien gorge, et c’est une grand plaisir que de pouvoir toucher ses seins. Je déboutonne ma chemise, et elle me caresse la poitrine Mon poitrail velu n’a pas l’air de lui déplaire. Avec ma bouche, je suce le bout de ses seins qui deviennent durs. J’ai de plus en plus envie d’elle et je veux qu’elle le sache. Je me déshabille complètement et éprouve un profond bonheur à lui montrer ma bite qui bande très fort. Je lui retire aussi ce qui lui reste de vêtements. Sa peau est blanche et douce. Ses formes sont voluptueuses. Le triangle de son pubis, recouvert d’une douce toison m’attire avec une force magnétique.

    J’entreprends de la caresser sur tout son corps. Sa peau est souple, moelleuse et élastique. Mes mains s’approchent de l’endroit tant désiré. A l’intérieur de ses cuisses, la peau est particulièrement douce. Quand je la caresse à cet endroit, ses jambes s’entrouvrent légèrement, trahissant son désir. Ma main s’enhardit. Je caresse doucement son sexe. Je mets dans ma bouche le majeur de ma main droite, pour qu’il soit bien mouillé de salive, et je le glisse entre ses grandes lèvres. Elle a l’air d’aimer cela. Je cherche ses petites lèvres et son clitoris qui répond à ma caresse. Mon doigt, maintenant, excite son petit bouton. C’est agréable, et elle gémit de plaisir, mais je suis un peu frustré de ne pas bien voir ce que je fais. Je me retourne sur le lit, et met mon visage en face de son sexe. Ma bite est aussi en face de son visage , et elle la prend dans sa main, ce qui me provoque un grand plaisir. Je vois maintenant très bien son sexe. Ses grandes lèvres roses et voluptueuses, son clitoris gaillard. Les trous de son vagin et de son anus qui me semblent hautement désirables. Plein d’avidité, je la lèche. Ma langue parcourt toutes ses zones érotiques, en s’attardant sur le fameux clitoris, et en donnant de grand coups de langues vers son vagin et son anus. . Elle gémit. Elle voudrait que j’entre en elle. Moi aussi, je le veux, je n’y tiens plus. Je me mets rapidement une capote, et ma bite entre en elle avec douceur et facilité. Il faut dire que grâce à mes caresses, son sexe est tout mouillé de son jus et de ma salive.

    Une grande joie est de voir son visage au moment où ma bite entre en elle, avec ses yeux fermés, de sa bouche entrouverte avec un demi sourire plein de volupté. Ma bite va et vient en elle. Le plaisir est grand. Je prend mon temps pour ne pas partir trop vite, et que nous en profitions tous les deux. Ses gémissements de plaisir sont une douce musique à mon oreille. Je me retire d’elle, et me mets sur le dos. Elle vient sur moi , et à nouveau, ma bite s’enfonce avec une grande facilité et une grande douceur dans son sexe bien mouillé et bien ouvert. Après quelque temps, je ne peux plus réprimer mon plaisir, et je jouis- quel bonheur…

    Repus et heureux, nous restons quelque temps dans les bras l’un de l’autre avant de prendre un douche, de nous rhabiller, et de quitter notre nid d’amour. Nous dînons ensemble dans un petit restaurant du quartier avant, de rentrer chacun chez soi, retrouver la vie quotidienne. Parenthèse de bonheur, dans une vie de routine, cette rencontre est un très bon souvenir. Plus tard, nous nous croiserons parfois sur internet, et elle me dira : «viens chez moi me faire l’amour ». Alors, je bondirai sur ma moto et je traverserai Paris.
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