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Discussion : Drague de rue

  1. #


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    août 2020
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    2

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    Petit nouveau sur ce site !

    jamais dragué dans la rue ! où on m'a jamais dragué ( ou pas remarqué )

    j'ai pas de souci via le net ... comme quoi !

    Bravo à ceux qui essaient !

  2. #


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    décembre 2016
    Localisation
    PARIS
    Messages
    941

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    Les femmes pas mal, plutôt jolies, ou passables avec leurs charmes peuvent aussi êtres timides, il n'y a pas que les plus belles qui sont sollicités, certains gars comme des femmes ont l'avantage d'avoir presque tous les goûts des diverses beautés selon leurs préférences, en général l'humain a ses limites.

    C'est ce que je disais, il faut un sacré cran et ensuite accepter ces défaites, pour certains c'est un véritable jeu, une question de fierté, orgeuil quand bien même ils se prennent plein de refus, si dans une journée ou une semaine ils obtiennent ne serait-ce qu'un rendez-vous juste pour parler, un déjeuner, dîner, alors c'est déjà une réussite.

    Faut avoir une grande confiance et une force de se prendre des râteaux et de continuer ce genre d'exercice, la preuve que l'on est pas si différents entre nanas et mecs, j'ai vu des Demoiselles, Femmes se prendre des refus, on aimerait voir plus de femmes aborder avec classe, humilité, sympathie, humour pour moi ce serais l'idéal, le jour où çà m'arrive je le dirai ici évidemment et je l'écrirais sur mon calendrier, car ce sera un sacré évènement.

    C'est toujours ainsi quand on arrive pas à passer des obstacles alors que d'autres soit c'est naturel, soit ils ont réussis au bout de quelques semaines, mois, années, voir de longues années, pour des personnes rien ne semble impossible, j'aimerai avoir ce don, on peut pas tout réussir c'est une certitude, on perds au moins une fois, voir très peu pour les meilleurs, mais quand même des échecs.

    Et c'est pas par hasard si j'ai choisi mon pseudonyme, j'aime tellement réussir, gagner dans bien des domaines sans me rendre malade, hystérique quand je perds, heureusement.

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  1. #


    Inscription
    janvier 2013
    Messages
    17

    Par défaut Drague de rue

    Comme je l'expliquais dans le sujet "Drague aux terrasses des cafés" dans la partie "Techniques de drague" où je donnais quelques techniques que j'avais mises en pratique, mon ratio était malgré tout très bas avec environ 7 numéros de portables de filles glanés en 500 filles accostées pour ne donner que cette stat-là. Mais à considérer tout de même que je suis un type au physique convenable, mais à la tronche pas géniale, et à la tchatche médiocre.

    La drague aux terrasses des cafés ne m'est pas venue de suite. J'avais d'abord expérimenté ce que l'on appelle communément "la drague de rue". A cette époque, j'habitais à Paris.
    Alors je ne parle pas évidemment d'aller expérimenter cela, rue st Denis ou autres rues où toutes ces femmes vous désireront d'emblée et vous m'écrirez que vous y avez eu un super ratio.

    Aborder une inconnue dans la rue est probablement l'exercice le plus difficile. Si vous arrivez à vos fins, vous serez capables de réussir partout ailleurs. Et du reste, laissez tomber votre job actuel et lancez vous dans le commerce. Il est évident qu'un bon dragueur est un bon vendeur.

    Sur une trentaine de filles abordées dans la rue, j'avais eu 100% d'échec et zéro numéro de portable récolté. C'était au milieu des années 2000. Ensuite, j'ai préféré me réorienter vers la drague aux terrasses des cafés, l'avantage, c'est qu'au moins, vous êtes assis et il vous reste au moins une bonne boisson pour vous consoler.

    En tant que parigot à cette époque, j'avais évidemment été tenté par aller expérimenter le concept au Jardin du Luxembourg et je dois dire que par la suite, je ne rencontrerai pas de concurrence dans la drague aux terrasses des cafés mais là par contre, je m'étais trouvé face à un concurrent au Jardin du Luxembourg qui s'approchait de filles seules sur un banc et démarrait sa tchatche.
    J'avais alors éprouvé un sentiment qui était un mélange de compassion (quand on connaît la dureté du "métier") mais en même temps, j'avais la volonté que le type échoue non tant pour la question du territoire (Paris est assez grand pour tous) mais car j'aurais été jaloux de le voir réussir devant moi pendant que j'échouais en vain.
    En fin de compte, après un bel acharnement, le type s'avoua vaincu et partit en draguer d'autres beaucoup plus loin et je n'en tirais finalement aucune satisfaction mais plutôt de la compassion. J'imaginais que ce type dégarni mais bien sapé, avec un certain charisme, avait de l'expérience, du métier et qu'il accumulait tout comme moi pas mal d'échecs mais probablement aussi des victoires. Peu de temps après, je décidais d'arrêter la drague de rue pour passer à celle aux terrasses des cafés. Avoir vu à quelques mètres de moi, un probable pro de la drague échouer, m'avait particulièrement démotivé.

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