Nationalité / langues parlées : Roumaine (enfin je crois) / parle très bien Anglais
Age : 26
Visage : fin, plutôt allongé, caractéristique que l'on retrouve sur son nez, yeux profonds (noisette de mémoire)
Cheveux : longs, lisses et bruns, accrochés avec une queue de cheval haute, mon kif
Taille : 1,65m environ voire un poil plus
Poitrine : 85 C je dirais mais un peu tombants et mous, quelques vergetures apparentes sur les flancs (moi j'adore, ça me permet de les empoigner et de les rassembler pour gober les 2 tétons d'un coup), plutôt une belle poitrine qui se tient mais je ne garantie pas qu'avec l'âge...
Silhouette / corps : très fine, longiligne sans être maigre ni teen, très belle JF
Tatouages - Piercings : de mémoire un tattoo discret genre à l'intérieur du bras, mais sans conviction je confonds peut-être - un piercing très très fin sur la narine
Fellation : très bien menée même si elle manque cruellement de salive pour rentrer dans mes favoris, ne vous quitte pas des yeux quand elle suce, quand elle pompe, quand elle lèche . Attention: ne pratique pas le CIM
Cunni : oui, elle ne boude pas son plaisir ni mes doigts, même si je n'ai pas déclenché de convulsions
Embrasse (oui- non) : oui oui oui mais je pense que ce ne sera pas gagné pour tout le monde...
Autres caractéristiques : ne pas se fier à son comportement en salle (cf. mon EV)!!



Peu après mon arrivée, j'ai de suite remarqué cette fille qui je dois l'avouer est franchement ma came physiquement. Pour ne rien gâcher, elle était hyper classe, sans ongles de porn-star américaine, sans platform shoes de pute bas de gamme, avec un maquillage sobre, une belle guêpière noire, des talons noirs et léopard et un beau collier très épais noir et or.
Je suis en mode observateur et je ne me presse pas, et j'ai d'autres cibles en vues. Rapidement je la classe (à tort) en catégorie "bad shot", pas en "Roumaine d'élevage" car elle est jolie, elle a du style et je me retournerais sans doute sur elle dans la rue (contrairement aux autres élevées en batterie qui n'ont rien pour elles, à part coucher pour 50€).
Elle m'achève en m'interpellant au loin d'un "babyyyyyy"
Un peu plus tard, on se croisera (elle m'abordera je crois), je discute un brin mais lui met finalement un vent. Optikfick why not mais là je voulais plus.
A 2 doigts de partir, et après plusieurs déconvenues, ne voulant pas partir brecouille, je l'aborde à mon tour au bar. Je la taquine un peu en lui disant que j'espérais qu'elle revienne me voir. Elle me dit qu'elle ne revient jamais à la charge. Après un peu de blabla, je me décide pour le coup de poker...
Et quel coup... avec Andréa je tiens une quinte flush

Acte I: prise de contact et préliminaires
Je ne change rien à mes habitudes, j'ai finalement la trouille: que ça se passe mal, qu'elle me joue la montre (il y a une douche à l'entrée de la chambre), qu'elle n'embrasse pas, qu'elle se la joue princesse, pas touche ici...etc.
Que nenni! Cette fille est le mix parfait que tout homme devrait avoir dans son lit à domicile: elle est GFE au sens noble du terme, je me suis senti en communion avec elle, sans qu'elle ne surjoue de chichis ou de fausses caresses, elle est PSE aussi mais sans faire de cinéma... Elle me suce langoureusement, avec application, tout en me regardant dans les yeux, elle me tient par la bite, l'expression est parfaitement appropriée. En bref, j'ai la sensation d'être avec une amoureuse qui n'a pas froid aux yeux, une douce salope mais que pour moi.
Le cuni s'avérera très bon, à tel point que j'y passerai un bon moment. Elle ne refuse pas mes doigts mais de manière soft (j'entends par là qu'elle n'est pas fan du bourrinage en mode porno).
On continuera un moment à se chercher, se caresser, se masturber (suffisamment rare pour le souligner: voilà une fille qui prend mon chibre en main et le caresse, à croire que les autres n'y pensent même pas), et on s'embrasse, beaucoup, suavement. C'est magique. Je n'ai pas cherché ses baisers au départ, si ce n'est quelques bisous, puis c'est elle qui est venue chercher ma bouche. Elle embrasse super bien selon mes critères, une vraie osmose. Je la ferais notamment se positionner dans l'une de mes positions favorites pour profiter de son anatomie, à savoir moi allongé sur le dos, et elle me chevauchant ma bouche, appuyée comme elle le peut sur le mur, sur la tête de lit et dans mes mains.
Je ne suis pas en hyper grande forme, j'aurais dû lâcher la purée quand je me sentais poindre plutôt que de relâcher la pression et repasser sur son minou (mais j'apprendrais par la suite qu'elle ne fait pas le CIM).
En bon maître du temps, lors d'un moment de pause, je lui demande ce qu'elle préfère: poursuivre ou faire un break et repartir de plus belle un peu plus tard. Ce n'est pas une arnaqueuse et elle comprend que je préfère marquer un temps d'arrêt. Elle me libère (au risque de me perdre pour une autre). Nous sommes restés 1h10 en chambre, je lui tends 100€ m'attendant un peu à une remarque mais seuls devant les casiers, elle m'embrasse et me serre dans ses bras. Putain de merde... je suis vraiment amoureux

Acte II: find her, fuck her, but don't forget her!
J'ai failli me faire happer par une autre (plusieurs en fait) mais le wifi et les quelques EV m'aident à louvoyer. Je retrouve Andréa, je ne sais plus trop dans quelles circonstances mais c'était écrit. Nous remontons en chambre.
J'ai envie d'être créatif, ne pas vraiment refaire un copier-coller de notre première session (et je rappelle que le fusil est toujours chargé n'ayant pas cartouché initialement). Je tente donc d'autres trucs comme la déguster en mode doggy, j'ai moins de dextérité avec ma langue sur son clito dans cette position mais je peux remonter jusqu'à sa petite rondelle dont je me délecte. Elle semble enchantée et effectivement je m'apercevrais qu'Andréa est une fan de la feuille de rose (sans toutefois m'en prodiguer). Je tente une inspection digitale mais elle est rétive, même avec un peu de gel, une demi-phalange plus loin elle me demande de ne pas insister.
Après de nouveaux préliminaires (toujours son regard bitchy quand elle me suce), je me capote et lui demande de venir s'empaler. Elle use de gel, ce qui ne m'a bizarrement pas dérangé plus que ça (alors que d'habitude, effet débandant garanti), elle reste sensuelle et c'est nécessaire car elle est assez étroite (et je ne suis vraiment pas monté comme un poney). On changera plusieurs fois de positions, l'entendant gémir, ayant à mon tour d'excellentes sensations quand je la pénètre, et nos bouches ne se quittant pas, même en levrette, elle se retournera pour quémander des baisers. Je viendrai ainsi en elle, sans maîtrise du temps, juste parce que j'en ai envie, parce que c'est bon à ce moment précis.
Doublement bon car cela aura duré 55' (maître du temps je vous dis! ). Je repasse par la banque pour me séparer de 100€ mais d'Andréa, j'ai de plus en plus de mal à me séparer

Acte III: dépucelage anal
Je déambule longuement dans le club. Je suis aux anges mais j'ai envie de plus. Pas assez rassasié pour rentrer à Paris, trop tard pour changer de club, pas envie d'un 3è jour (nous sommes la veille du 1er mai...) et j'ai cette double angoisse: retourner avec Andréa une 3è fois et prendre le risque de tout anéantir, ce beau souvenir des 2 sessions passées, ou tenter une autre fille et finalement partir sur un mauvais shot (ça c'est vraiment chiant de repartir sur une mauvaise note).
Andréa le sent et vient spontanément me rejoindre sur un canapé. Après quelques papouilles, c'est naturellement dans une zimmer qu'on se retrouve. Je sens qu'elle est un peu naze, elle m'avait habilement glissé sur le sofa qu'un massage lui ferait du bien mais comme je ne chie pas de billets de 50, je garde désormais ce talent pour mes régulières non-vénales. On démarre presque directement en 69 qui se poursuit en cuni plus classique avec elle sur le dos qui se cambre de plus en plus sur le côté, ce qui me laisse naturellement le champ libre pour poursuivre l'analingus déjà démarré au fur et à mesure de nos jeux linguaux. Cette fois-ci je pousse l'introspection un peu plus loin, malgré ses timides demandes de ne pas poursuivre avec mon doigt, je réussirais à force de douceur, de temps, de lubrification à introduire mon majeur en entier dans son fion.
Je pense aux suivants en ne brusquant rien pour ne pas la dégoûter. Pas question de pénétration anale, c'eut été trop laborieux (et j'aurais bien été embêté au moment de payer, n'ayant pas su combien lui donner, ni elle combien demander ne proposant pas ce service). Elle m'avouera finalement avoir apprécié ce moment. Comme à l'acte I, on se câline puis je me dresse pour lui offrir ma queue à sucer, allant jusqu'à la pénétrer ainsi, presque un face-fucking... elle encaisse bien et n'aura jamais hésité à me prodiguer des deep-throats.
Capuchonnage, gel, kiki inside, hop! Malheureusement sa plastique, ses baisers et mon attraction pour elle n'arriveront pas à contre-carrer mon coup de fatigue. Un peu mou, elle me reprendra en bouche, me masturbant, me demandant de ne pas finir en CIM (d'où l'info), je vint entre ses mains, répandant mon foutre blanc sur son corps soyeux, jusqu'à son épaule et sa joue.
Je suis totalement dead. Je m'écroule avec elle dans mes bras.
Je regarde discrètement ma montre: entre 1h10 et 1h15... je n'ai pas envie de lui refaire le coup de gratter du temps, on poursuivra donc ce moment dans les bras l'un de l'autre, se câlinant, somnolant, avant de quitter la chambre.


Je repars donc sur un nuage. Plus léger de 350€, le prix de certaines mauvaises escortes parisiennes pour 1h parfois bâclée...
Je l'aurais bien ramené avec moi dans ma trousse de toilette cette Andréa.
Une EV un peu moins "technique" donc... certains pourront avoir la même expérience sublime que moi, d'autres en revanche n'aimerons peut-être pas Andréa si l'alchimie n'est pas au RDV.
Ce n'est pas la première fois qu'une seule fille me permet de passer une journée exceptionnelle dans un club. C'est d'ailleurs au Dolce Vita que j'ai vécu la plus belle session en FKK de ma vie, allant jusqu'à sortir à près de 6h du club (qui ferme à 5h...).