Discussion : ALEKSA2 d'Amour Russe.net (russe - brune)

[Hervlouis]

Mon dieu monsieur !
Si l'on me demande que est digne de nos petites fleures je citerais entre autres glorieux pseudo qui sont l'orgueil de notre communauté le votre !
Quel compteur ! Et quelle envie vous me donnez de voir la jeune fille que déjà je lorgnais !
Je vous salut monsieur !

Et moi pareillement, en vous remerciant.
J'aimerais partager mes sensations plus souvent mais ma bourse ne suit hélas pas les appétits de mes bourses .
A bientôt j'espère, si celle qui réveille actuellement mes instincts ne part pas trop vite.

[lemondain]

Mon dieu monsieur !
Si l'on me demande que est digne de nos petites fleures je citerais entre autres glorieux pseudo qui sont l'orgueil de notre communauté le votre !
Quel compteur ! Et quelle envie vous me donnez de voir la jeune fille que déjà je lorgnais !
Je vous salut monsieur !

[Hervlouis]

J'ouvre une revue, les seules que j'aie trouvées concernant mon hôtesse se mêlaient à d'autres... Dans son infinie sagesse, le grand timonier de ce forum corrigera si nécessaire.

Rentré d'un été sexuellement décevant, les quelques filles rencontrées ayant été décidément bien peu créatives au lit, j'avais besoin de me refaire une santé. Je jette mon dévolu sur Aleksa.

http://amour-russe.net/one_model.php?id=874



RDV pris avec la belle après une première tentative infructueuse la veille. La nymphe accueille dans le 5e arrondissement, dans un bel immeuble et un appartement du même acabit qu’elle partage ai-je lu avec Jessika. J’opte donc pour une fille mince, et mignonne bien-sûr. Celle-ci m’accueille tout sourire au 1^e étage (porte droite) de l’immeuble. Je la suis dans la chambre où elle s’assit sans dire un mot sur le lit, en face d’une chaise où je prends place. « Time to pay » dis-je bêtement. Elle répond par un sourire et je lui tends la liasse de billets pour le batifolage contracté quelques heures plus tôt avec son "protecteur". Elle quitte ensuite la chambre toujours souriante et silencieuse pour se rendre dans la cuisine, compter et planquer l’argent je suppose ; je prends la serviette propre pliée sur le lit et me rends dans la salle de bain, m’assurant auparavant que c’est bien ce qu’elle attend de moi, elle n’a toujours pas ouvert la bouche…

Rafraîchi de cette température calamiteusement éprouvante, la serviette nouée autour de la taille, je regagne la chambre du péché où elle se tient debout penchée sur son portable posé sur la cheminée. Rapidement, elle s’allonge sur le lit, en soutien-gorge et string noirs. Elle est fine, bronzée, enlève le haut : de petits seins brunis de soleil dressent leur pointe. Son petit visage rond et juvénile me regarde, le sourire aux lèvres. Je viens près d’elle et tente quelques mots : elle ne parle ni anglais, ni français ! J’apprends simplement qu’elle vient de Sibérie, puis me résous à me contenter de caresser sa peau fort douce.

Aleksa semble vouloir en découdre avec moi : Elle bouge son corps, se caresse entre les cuisses… Je lèche ses tétons suscitant son émoi. Je tente un baiser qu’elle accueille humide et généreux, sa petite langue joue discrètement. Elle est chaude, je bande déjà. Elle attrape sous la serviette mon sexe épais et me masturbe pendant que j’embrasse son corps, son visage et que je plonge ma langue dans sa bouche entrouverte. De l’autre main, elle suce ses doigts pour me provoquer, mon pouce fait le tour de ses lèvres et s’engouffre par va et vient dans sa bouche – je vais bien m’amuser avec cette fille !

Nous entendons par intermittence sa colocataire juste rentrée passer l’aspirateur ou faire quelques rangements. C’est subliminal, mais je vois qu’elle n’est aucunement troublée et continue son affaire comme si nous étions seuls au monde.

Elle s’excite, je sens de mes doigts sa chatte mouillée et décide de venir caler ma tête entre ses cuisses. Mes coups de langue lui font plaisir. Le parfum de son intimité, pourtant ne m’enchante pas, hélas ! mais la sentant vibrer, je relève ses jambes et tâche de la faire gémir. Je me redresse enfin et l’invite à m’imiter. Elle vient alors volontiers avaler mon sexe tendu ; je suis à genoux devant elle, elle s’attarde sur mon gland, ma verge, « deep throat » au passage, et manipulation de mes testicules de sa frêle main. Elle passe du temps, je jubile. Je la regarde travailler avec envie, sans se lasser, avec une réelle volonté de bien faire, me jetant parfois des yeux complices. Je tente un doigt dans sa chatte : elle ne me retient pas, j’y vais alors de bon cœur.

Nous nous embrassons ensuite profondément avant de nous mettre d’accord pour que j’enfile un préservatif. Soulevant l’oreiller, elle me le présente comme une surprise ; j’ouvre le sachet et lui tend le bout de caoutchouc pour qu’elle l’enfile pendant que je m’adosse au mur. Aleksa me suce couvert encore un peu et je lui demande de venir me chevaucher. Elle s’exécute et rapidement prend un rythme effréné sur ma queue, faisant bruyamment grincer le lit. Elle s’en fout, elle veut baiser, et moi aussi. Je détache ses cheveux bruns qui me plaisent entourant ainsi son visage.

Je l’enfile ensuite en missionnaire. Elle gémit fort, relève ses jambes, veut prendre son pied. Je la pilonne donc sans retenue pour notre plus grande satisfaction à tous les deux. La chaleur et mes limites physiques m’imposent des pauses : c’est très bien, ça fait durer le coït ! Nous cherchons les positions les plus jouissives. Elle me titillera les couilles plus d’une fois pendant nos ébats. Sous l’agitation de nos corps, les lits jumeaux se sont séparés et sont en vrac dans la pièce ; la literie est une vraie merde, on sent par endroit les lattes. Il en faudra plus pour nous décourager…

Finalement, après des assauts répétés au chaud dans son ventre dans diverses positions, je la laisse sans récompense. Je me retire et commence alors à me masturber, assis devant elle. Elle pense à une nouvelle position, mais se ravise et se caresse allongée, deux doigts dans la chatte bien ouverte devant moi ; je l’encourage et nous nous masturbons tous les deux, elle prend soin de jouer avec mes testicules dans l’action. Je sens la sève monter. Elle me propose d'éjaculer sur sont magnifique corps - bonne idée ! Soulageant le phallus de son habit étroit je crache un jet abondant sur son ventre et ses seins.

Nous gagnons alors ensemble la douche pour nous laver mutuellement. Revenus dans la chambre, je constate bénéficier d’encore un peu de temps. Je m’allonge sur le lit, elle vient, toujours nue, s’allonger aussi, la tête sur mes cuisses si près de mon sexe reposé, mais couvert prudemment par la serviette. Nous tentons des discussions, elle est vive et joyeuse, un vrai bonheur pour l’esprit et les yeux. Ma main caresse négligemment son joli corps. Nous sommes comme deux amants après l’amour. Je la vois pourtant bientôt bailler et me propose donc de partir. Elle me demande – je jubile – de rester encore un peu, m’expliquant que son client suivant vient beaucoup plus tard. Nous restons donc là quelques instants à tenter de communiquer tant bien que mal ou même en silence, quelque peu assoupis.

Je viens de baiser avec une bombe de sexe, elle semble heureuse de notre corps à corps, (quoiqu’elle n’ait pas joui à mon plus grand désarroi). Je crois qu’elle attendait un punter, ce que je ne suis pas, mais nous avons passé un bon moment ensemble… Elle et moi.

Mais je suis beaucoup trop long et finis ici mes discours indiscrets.